In a recent article, Leigh (J Bone Joint Surg [Br] 88-B: [16][17][18] 2006) notes that patients do not lay down memory when being counselled as to the risks involved in prospective surgery. In our article we focused on the patients' recall of risk factors involved in elective spinal surgery. We assessed the influence of written information provided to the patients during the consenting process on their recall of operative risks. The study was a prospective randomised study. All patients having elective spinal surgery were included in our study from February 2006 to November 2006 as a consecutive series. Patients were randomised into two groups, one of which received routine consent with verbal explanations (group 1), the other received the same information supplemented by a written sheet explaining the risks of the surgery (group 2). Two weeks later we assessed patients' recall of the risk involved in the surgery with a questionnaire and compared both groups with a Student t-test. Fifty-three patients (twenty in group 1 and twenty three in group 2) were involved. We noted a significant difference between the two groups in terms of mean number of risks recalled and number of patients recalling each risk (p<0.001 and p<0.005, respectively). The addition of a written sheet given to patients during the consenting process makes a significant difference in terms of their recall of the surgical risks in elective lumbar spine surgery. We advocate the routine use of written booklets during the consenting process.Résumé Rappel: dans un article récent, Leigh montre que les patients ne se souviennent pas très bien des indicationsqui leur ont été données en ce qui concerne l'information sur les risques avant une intervention chirurgicale. Nous avons souhaité, dans notre étude mettre l'accent sur les risques pouvant survenir dans la chirurgie rachidienne. Nous avons essayé d'évaluer l'importance de l'information écrite lors de la mise en place du consentement éclairé de ces patients. Méthode : cette étude est une étude prospective randomisée. Tous les patients devant bénéficier d'une chirurgie rachidienne ont été inclus dans notre étude sur une période s'étalant de février 2006 à novembre 2006. Tous les patients consécutifs ont été randomisés en deux groupes. Le premier groupe n'ayant que des explications par voie orale, (groupe 1) et le deuxième groupe avec un complément d'informations écrites, (groupe 2). Deux semaines après, ces patients ont été évalués avec un questionnaire et les deux groupes ont été comparés. Résultats : 53 patients dans le groupe 1 et 23 dans le groupe 2 ont été pris en compte dans cette étude. Nous avons noté une différence significative entre les deux groupes soit sur le nombre d'informations retenues par le patient ou le nombre de patients ayant pris en compte ces informations. En conclusion : outre l'information orale, une information écrite remise au patient durant le processus de consentement éclairé en chirurgie du rachis lombaire, est nécessaire avec une différence signif-