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Στή μελέτη αὐτή ἐξετάζεται ἡ ἐπιγραφή ἑνός ἀναθήματος στήν Ἄρτεμη Ταυροπόλο πού βρέθηκε στήν 'Αμφίπολη, στήν ὁποία ἀναφέρονται ό Περσέας, ό τελευταῖος βασιλιάς τῆς Μακεδονίας, καθώς καί δύο πολιτάρχες ὡς ἄρχοντες τοῦ δήμου τῶν Άμφιπολιτῶν. Υποστηρίζεται ὅτι δέν πρόκειται γιά κοινό ἀνάθημα τοῦ βασιλιᾶ και τῆς πόλης, ἀλλά ὅτι ἡ ἀνάθεση του δήμου τῶν Άμφιπολιτῶν χαράχθηκε στό μνημείο σέ μεταγενέστερη ἐποχή, λίγα χρόνια μετά τή ρωμαϊκή κατάκτηση, γιά νά ἀντικαταστήσει ἑκείνη του Περσέα. Ἑπομένως, ἄν καί εἶναι πολύ πιθανό ὅτι ἡ μνεία τῶν πολιταρχῶν στήν ἐπιγραφή αὐτή εἶναι ἀπό τίς παλιότερες στή Μακεδονία, τό πρόβλημα τῆς αρχῆς τοῦ θεσμοῦ παραμένει ἀνοιχτό.

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Un culte domestique des Corybantes* En 1985, lors d'une fouille d'urgence sur la pente septentrionale de la table plate qui entoure la colline, habitée déjà à l'époque du bronze, connue sous le simple nom de Toumba (anciennement Toumba de Kalamaria) dans les environs de Thessalonique, M. Kostas Soueref a dégagé, dans un terrain surplombant le torrent qui délimite la colline vers le nord et l'ouest, des habitations des époques archaïque et classique l. Les phases successives d'occupation s'échelonnent du Xe à la fin du IVe siècle av. ].-C. Ces maisons appartenaient à village qui fut abandonné dans le dernier quart du IVe siècle, sans doute lors de la fondation de la ville de Thessalonique par Cassandre, probablement au début de son règne, quand furent réunies dans un ample synécisme de nombreuses villes du pourtour du golfe thermaïque et de la Crousside 2. La distance entre le bourg de Toumba et le tracé oriental des remparts de Thessalonique est à peine supérieur à 1 km, tandis que la ville située sur le promontoire de Mikro Karabournou, qui est vraisemblablement l'ancienne Thermè 3 , se trouve à 2,5 km à peine. Une des ces maisons présente un intérêt particulier pour l'histoire de la religion grecque. Il s'agit d'une habitation spacieuse qui comprenait, dans sa dernière phase, attribuable au IVe siècle av. ]._C. 4 , plusieurs pièces (fig. 1). Une d'entre elles, assez grande (elle mesure 3,5 m x 5 m), contenait une baignoire qui se trouvait à gauche de l'entrée (fig. 2); elle communiquait avec une seconde pièce, un peu plus grande (4 m x 5 m), où une fosse bordée de Je tiens à remercier vivement M. Kostas Soueref pour son aide précieuse, ainsi que pour les clichés de sa fouille qui sont reproduits à la fin de cette étude.

Two inscribed bases of votive offerings to Zeus Larasios from Tralleis (Aydin), dating from the late second or early third century AD, have been repeatedly discussed ever since the first of them was published in the 19th century. The starting point of the discussion has been the fact that the women who dedicated the offerings identify themselves as pallakai (concubines), a sacred function that was hereditary and could be held only once (or in exceptional cases twice) in a lifetime. There is no agreement among scholars on the duties performed by the pallakai every four years, on the occasion of the penteteric festival of Zeus Larasios. The hypothesis that they were sacred prostitutes, put forward by W. Ramsey in 1883, has been abandoned. The proposal of K. Latte to recognize the pallakai as prophetesses (on the model of the Pythia) is also problematic. The explanation of the term pallake or pallakis by ancient lexicographers as a young girl at the beginning of puberty suggests that the pallakai of Zeus Larasios performed a ritual signaling the transition from childhood to reproductive age. Strabo records a ritual of this kind in Egyptian Thebes.