Climate, diet, lifestyle, and environmental settings have all been shown to modulate mood, play a role in mental disorders, and even pose a mental health risk. Can climatotherapy, in its adaptive approach aiming to restore balance among the economic, social, and ecological realms of human societies, situate itself as a therapeutic avenue for the promotion of sustainable mental health?Commentary/Van de Vliert: Climato-economic habitats of fundamental freedoms BEHAVIORAL AND BRAIN SCIENCES (2013) 36:5
Cet article propose un éclairage biopsychosocial des liens entre la santé mentale, plus particulièrement le suicide, et l’alimentation. Premièrement, nous développons les liens entre l’alimentation, son rôle social et le suicide. L’acte alimentaire est étudié en tant qu’intégrateur et régulateur social, à la lumière de la théorisation de Durkheim. L’alimentation est également envisagée comme autodestruction, avec le cas particulier du « suicide alimentaire ». La déstructuration des repas et les aliments aliénants sont identifiés comme facteurs contribuant à la déstructuration des « modèles alimentaires ». Ensuite, nous évoquons la place de l’alimentation dans la psychopathologie et enfin, les liens entre les paramètres biologiques reflétant l’alimentation et le risque de suicide. Des pistes de recherche et d’intervention découlant de l’approche biopsychosociale proposée dans cet article sont également proposées.
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