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There was no correlation between ultrasound findings and the presence of anal incontinence. The unsatisfactory sonomorphometric outcome after 6 weeks results from inadequate repair with retraction of the sphincter ends. Defects newly demonstrated after 36 months indicate dedifferentiating atrophy with damage to peripheral motor nerves.

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Purpose: Phase-contrast and scattering-based x-ray imaging are known to provide additional and complementary information to conventional, absorption-based methods. The goal of this study is to evaluate this method to distinguish between benign and malignant microcalcifications with the benefit to increase accuracy of early breast cancer diagnosis. Phase-contrast mammography has been shown to increase image quality of native breast samples when compared to conventional mammography. Two major types of microcalcifications are found within breast tissue. Type I consist of calcium oxalate dehydrate and type II microcalcifications are composed of calcium phosphates. Type I is seen most frequently in benign lesions whereas type II is indicative for proliferative lesions, including carcinomas. Phase contrast mammography is shown here to distinguish between the two types of microcalcifications and therefore indicates a step forward to improve early breast cancer diagnosis. Material and Methods: Freshly dissected breast specimens (n = 50) were imaged using a Talbot-Lau interferometer equipped with a conventional x-ray tube; the interferometer was operated at the fifth Talbot distance, tube voltage of 40 kVp with mean energy of 28 keV, and current of 25 mA. The device simultaneously recorded absorption, differential phase and small-angle scattering signals. These quantities were combined into novel, high-frequency-enhanced radiographic images. Histopathological analysis was performed and regions of interests correlated with the findings of phase contrast mammography. Results: Our novel imaging approach yields complementary and otherwise inaccessible information on electron density distribution and small-angle scattering power of the sample at microscopic scale. Recently we generated the world's first phase contrast mammograms of native, not-fixed human whole breast samples. Our results indicate the superiority of the new technique with respect to image quality and lesion conspicuity. A clinical reader study is currently carried out. Exploiting the multiple, complementary information obtained by grating-based interferometry, we are able to classify microcalcifications by a non-invasive technique within the clinical environment. By considering the small-angle scattering signal as a complement to the absorption signal, our method can analyze the differences in the attenuation coefficient as well as in the crystal structure of the microcalcifications. Further, the scattering signal is used to decouple the thickness parameter. We demonstrate that type I and type II microcalcifications give opposite absorption and scattering signals and in addition the small-angle scattering signal helps to determine the type of microcalcification. Conclusions: The potential clinical significance of phase-contrast enhanced mammography has been evaluated by our team. This technique yields improved diagnostic capabilities when compared with conventional mammography, can provide superior contrast, inaccessible and complementary information, and potentially also reduce dose deposition. The non-invasive classification of microcalcifications is an important step toward early diagnosis and differentiation of breast lesions. Citation Information: Cancer Res 2012;72(24 Suppl):Abstract nr P4-03-06.

Le problème de la stérilité a aussi pris de l'importance en Suisse ces dernières années. Une des raisons essentielles qui l'explique est le report du projet de famille à un âge supérieur à 30 ans, associé à la réduction marquée de la fertilité féminine dès le début de la trentaine. Ainsi le percentage de naissances chez les femmes de plus de 30 ans a augmenté en 10 ans de 21% à 37% (Office fédéral de la statistique). Le registre national (FIVNAT Suisse) montre aussi, que l'âge moyen des patientes concernées a augmenté de un ans depuis 1995 à 2001. Environ 1 couple sur 6 est en traitement médical pour des problèmes de stérilité [1]. Grâce à l'omniprésence des médias, les couples sont aujourd'hui mieux informés sur les possibilités des traitements modernes de la stérilité. Cela entraîne malheureusement en contre-partie parfois des attentes irréalistes envers la procréation médicalement assistée. La fécondité naturelle humaine est faible comparée à celles d'autres espèces. La fécondabilité maximale (chez les femmes de 25 ans) culmine à environ 33% (fécondabilité = probabilité de devenir enceinte par cycle de menstruation). La fécondabilité moyenne (FM) est seulement de 20% [2]. Cette fécondabilité moyenne est soumise à de grandes variations mensuelles (de 0 à 60%) [3]. Cette faible fécondabilité est probablement d'origine chromosomique. Une méiose est associée dans environ 25% des conceptions à une aneuploïdie [4] et au moins 50% des embryons préimplantatoires portent des anormalités chromosomiques [5]. La composition de la population sous-fertile dé-pend essentiellement de la durée du désir de grossesse. Un médecin qui commence un traitement de procréation assistée chez les couples souhaitant des enfants depuis un an est confronté à des couples stériles dans 16% des cas et à des couples avec une fécondabilité normale dans 30% des cas. Si le médecin prend un collectif de couples espérant des enfants depuis deux ans, il n'y a plus de couples avec une fertilité normale, 30% sont moyennement sousfertiles, 40% sévèrement sous-fertiles et 30% stériles. Après 5 ans d'attente, la proportion des couples sévèrement sous-fertiles augmente à 40% et celle des couples stériles à 48% [6] (tableau 1). EtiologiesLes causes les plus fréquentes de sous-fertilité ou de stérilité sont des facteurs masculins (lé-sions ou dysfonction des spermatozoïdes) ou, chez la femme, des lésions ovariennes ou des trompes (tableau 2). Une dysfonction des spermatozoïdes (motilité, morphologie normale, survie et pénétration à travers le mucus) réduit les chances de fertilisation. Une azoospermie (absence de production ou trouble d'écoulement) est par contre très rare (2%