SOMMAIRE Les observations présentées dans ce travail ont porté sur 70 animaux de race Normande de o à 3 ans. La croissance testiculaire, d'abord lente durant la période infantile, s'accélère entre 3 et iz mois au cours de l'établissement de la spermatogenèse, puis elle ralentit de nouveau par la suite. Au cours du développement des testicules, l'apparition de la lumière dans les tubes séminifères marque une étape particulière puisqu'elle correspond à une augmentation de la vitesse de croissance du diamètre et à une diminution de la vitesse d'allongement de ces tubes. Chez le Veau, comme dans les autres espèces, ce sont les gonocytes et eux seuls qui donnent les cellules germinales de l'adulte alors que les cellules de soutien ne donnent que les cellules de Sertoli. Le nombre total de spermatogonies souches augmente constamment pendant toute la période étudiée alors que le nombre de cellules de Sertoli reste relativement constant à partir de l'âge de 6 mois. Par ailleurs, il y a un cycle très précoce de l'épithélium germinal ; son identité avec celui de l'adulte est la preuve que dès l'instant où elle s'établit, la spermatogenèse suit son rythme propre définitif. Mais l'évolution du rendement de la spermatogenèse montre que celui-ci n'est normal qu'au bout d'un an.

No abstract

No abstract

Studies suggest that stimulation of the left dorsolateral prefrontal cortex (DLPFC) reduces food craving in bulimic patients, but evidence supporting repetitive transcranial magnetic stimulation (rTMS) as a therapeutic tool is lacking. We investigated the safety and therapeutic efficacy of an adjunct high-frequency rTMS programme targeting the left DLPFC. Forty-seven women with bulimia nervosa were randomised to a real or sham stimulation group. The real group underwent 10 rTMS sessions, each consisting of 20 trains of 5 seconds with 55-second intervals between trains, at a frequency of 10 Hz. The main outcome was the number of binge episodes in the 15 days following the end of stimulation. Overall, no significant improvement in bingeing and purging symptoms was noted after the programme. rTMS was well tolerated. This suggests that 10 sessions of high-frequency rTMS to the left DLPFC provide no greater benefit than placebo. Future studies should consider methodological issues as well as alternative targets. Copyright © 2016 John Wiley & Sons, Ltd and Eating Disorders Association.