Des restrictions d'une extrême sévérité sont imposées à des poussins femelles de souche lourde (type White Rock) et légère (type Leghorn) depuis la naissance jusqu'à 20 semaines. Les régimes isoénergétiques (2 8 5 o cal. mét./kg) se distinguent seulement par leur teneur et leur composition en protéines. Mille deux cents poussins de chaque souche sont répartis en 4 lots. Le lot de référence (T) consomme ad libitum un aliment équilibré assurant une croissance rapide : 21 p. 100 de protéines entre o et 6 semaines ; 1 8 p. 100 de 6 à i2 semaines, i 5 p. ioo ensuite. Le lot S reçoit les mêmes régimes mais est alimenté périodiquement (Skip-a-day) : 6 jours sur jusqu'à 12 semaines, 5 jours sur entre 12 et 20 semaines. Les protéines du lot P (10 p. ioo) sont fournies presque exclusivement par des céréales jusqu'à 3 semaines ; au-delà le taux protidique du régime est relevé à 13 p. 100 au moyen de farines animales qui assurent un meilleur équilibre des acides aminés indispensables. Enfin, le lot A reçoit alternativement le régime céréalier (io p. 100 de protéines) pendant r 4 jours puis le régime à 21 p. ioo de protéines pendant jours. Ce rythme (14 jours-7 jours) est maintenu pendant toute la période de croissance. Les sujets de chaque lot disposent de l'aliment à volonté chaque fois qu'ils y ont accès. A partir de l'aîge de 20 semaines et pour toute la période de ponte, tous les animaux d'une même souche disposent ad libitum d'un régime identique qui satisfait leurs besoins. L'influence des restrictions imposées pendant le jeune âge est liée à la réduction quantitative de la consommation. Dans le lot S les animaux compensent en partie l'effet des jeûnes périodiques en surconsommant pendant les phases de réplétion : le développement (croissance, maturité sexuelle) est modérément retardé. Dans les lots P et A les modifications sont plus profondes : croissance très ralentie, maturité sexuelle retardée d'une vingtaine de jours. Il existe une interaction très significative entre la souche et le mode de restriction. La maturité sexuelle la plus retardée se manifeste chez les Leghorn du lot A alors qu'elle est observée chez les White Rock du lot P. Pour l'ensemble des deux souches les performances de ponte ne sont pas profondément modifiées par les restrictions imposées durant le jeune âge. Ces restrictions protidiques, très intenses dans les lots P et A, provoquent une diminution légère mais significative des performances ultérieures de ponte chez les Leghorn ; dans la souche White Rock, au contraire, elles ont toujours un effet favorable. Dans tous les cas, elles n'affectent pas le poids moyen de l'oeuf. On peut donc envisager de rationner les animaux de souche lourde dès l'éclosion. Ceci peut être réalisé par l'utilisation d'un seul régime de taux protidique moyen. Cette déficience ralentira la croissance pendant les premières semaines d'élevage ; le retard étant ensuite maintenu par un rationnement quantitatif.
(NREL) thanks the U.S. Environmental Protection Agency (EPA) for its interest in securing NREL's technical expertise. In particular, NREL and the assessment team for this project are grateful to the Kerr McGee facility managers, engineers, and operators for their generous assistance and cooperation. Special thanks go to Charles King and Shea Jones from EPA and Christina Berry from the City of Columbus for hosting the site visit. The authors would also like to thank the Memphis Town Community Action Group and Reverend Jamison for their interest in the site, support, and information.
Sonnenlicht direkt, umweltfreundlich und wirtschaftlich in Strom zu verwandeln ist langfristig energiepolitisch sehr wichtig. Zwar besetzt Solarstrom derzeit — wenn überhaupt — nur Nischenplätze der Energieversorgung. Doch die Solarzellentechnologien könnten längst mehr.
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