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This research evaluates the applicability of different types of hydrological models to simulate discharge behavior scenarios in a northern Moroccan watershed, Oued Laou watershed (OLW). In this context, an improved understanding of the runoff mechanisms through hydrological modeling of the OLW can assist in the hazard risk management and facilitate the effective planning of water resources. For that end, a multitude of hydrological models were used to perform a very efficient modelling, and a comparative approach was adopted. Comparison of the models allowed the determination of potential sources of uncertainty in hydrological modelling of a subhumid watershed. Three models (ATelier Hydrologique Spatialisé (ATHYS), Hydrologic Modeling System (HEC-HMS), and Soil and Water Assessment Tool (SWAT)) with different characteristics were employed for a continuous modelling approach. The models were calibrated and validated using observed daily rainfall and streamflow data for 4 years (2004–2008) and 3 years (2009–2011), respectively. The multi-criteria model comparison (R², NSE, RSR, and PBIAS) showed that all three models are capable of reproducing the observed flows. The SWAT model performed well over both periods (NSE = 0.76 for calibration), with an improvement in validation (NSE = 0.84). A good agreement was also observed in the HEC-HMS model outputs, with an approximately stable NSE of 0.77 and 0.78 for calibration and validation phases, respectively. The ATHYS model showed a NSE value of 0.67 during the calibration, with a decrease of 0.06 towards the validation period. The other performance criteria confirmed these findings. Additionally, results suggest that semi-distributed and conceptual hydrological models are particularly suitable for the OLW given their physical heterogeneity. Generally, the integration of these models may be suitable for water resources assessment in OLW.

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Dans ce travail, nous présentons une méthode d’évaluation et de cartographie de la vulnérabilité à la contamination des eaux du barrage 9 avril 1947 (Maroc). Ses eaux sont connues pour un fort taux de la pollution et une activité anthropique considérable, malgré qu’elles soient destinées à l’alimentation en eau potable de plus de 760 000 habitants. Pour ce faire, nous avons appliqué un modèle français qui a été a nommé DKPR et qui comprend quatre facteurs : l’accessibilité du milieu aquatique (D), le fonctionnement hydrique du sol (K), la pente (P) et l’érosivité des pluies (R). La somme pondérée de ces facteurs, obtenue par le biais d’un logiciel SIG, nous a fourni un indice nommé Vr qui varie entre 0 à 4. À l'aide de cet indice, une carte de vulnérabilité à la contamination sur l’ensemble du bassin versant a été élaborée. Les zones présentant une moyenne ou faible vulnérabilité occupent respectivement 43 % et 38 % de la surface du bassin versant. Elles sont liées principalement au domaine forestier et agricole à moyenne et faible pente. Les zones à forte vulnérabilité occupent 14 % de la surface et sont liées aux secteurs anthropisés à forte pente. Les zones à très faible ou très forte vulnérabilité n’occupent que 4 % et 1 % respectivement de la surface du bassin versant. Les premières présentent les zones humides tandis que les secondes les terrains nus imperméables à forte pente.