Relationship between the data, such as direct observations of nature and recorded measurements, and the models is very complicated in the ‘water domain’. It is not at all as clear and explicit as it is often presented by teachers to students, by consultants to clients, or by authors to readers of publications. A number of aspects of this relationship are discussed using examples to illustrate the author's views. Limitations of data-driven tools (correlations, Artificial Neuronal Networks, Genetic Algorithms, etc.) and data-mining, when applied without physical knowledge of the relevant phenomena, are discussed, as are those of deterministic models. The currently used ‘good practice’ paradigm in modelling (the model is to be set up, calibrated, validated and run) is rejected when deterministic models are concerned. They should not be calibrated. A new paradigm, a new ‘code of good practice’, is proposed instead. Strategic and tactical aspects of various available approaches to modelling of physical phenomena and data exploitation have practical engineering and financial consequences, most often immediate and sometimes very important: hence the significance of the subject that concerns the everyday occupations of modellers, their clients and end-users.
Dans le domaine de la propagation des intumescences nous avons rencontré un problème fort intéressant et qui trouve, très souvent, des applications: celui de la galerie tantôt en charge, tantôt à surface libre. Nous avons réussi à reproduire ce phénomène et nous présentons ici notre solution. En même temps, nous exposons le principe de notre méthode implicite appliquée au calcul des intumescences. Le problème d'écoulement dans une galerie se pose le plus souvent dans deux cas.-PREMIEIt CAS. -Galerie de fuite ou de dériva-tion d'une usine hydraulique.Si la galerie est toujours à surface libre, on peut calculer l'écoulement sans grandes difficultés. Le problème se complique si la galerie est mise en Troisième: dès que l'onde de remplissage arrive à la sortie de la galerie, écoulement sous la pression Z-Zl (Z est le niveau dans la cheminée d'équilibre, Zl la hauteur de l'onde à la sortie). Le débit de la galerie augmente très vite et dé-passe même le débit des turbines. Le niveau dans la chambre d'équilibre baisse et bientôt l'écou-lement à surface libre s'établit dans la galerk Ce régime mixte, décrit en détails dans [7 J et.[8 J est très intércssant : très souvent son caleul permet de diminuer nettement les dimensions de la cheminée d'équilibre ou celles de la galerie, donc de trouver une solution plus économique. DEUXIÈME CAS. -Réseau souterrain de canalisations. On sait très bien que dimensionner les collecteurs, sans qu'ils soient mis en charge, pour les débits maximaux qui peuvent être provoqués par les précipitations est rarement possible et surtout n'est pas économique. Généralement il faut prévoir de grandes surfaces ou réservoirs d'eau, jouant le rôle de cheminées d'équilibre, où l'eau est stockée .i usqu'à la libération des collecteurs. Il ne faut pas insister sur le prix que peut coûter une telle solution, étant donné qu'il s'agit généralement de terrains se trouvant à l'intérieur des villes.Or, si on pouvait reproduire par le calcul le phé-nomène de la propagation des ondes dans le réseau 33
scite is a Brooklyn-based organization that helps researchers better discover and understand research articles through Smart Citations–citations that display the context of the citation and describe whether the article provides supporting or contrasting evidence. scite is used by students and researchers from around the world and is funded in part by the National Science Foundation and the National Institute on Drug Abuse of the National Institutes of Health.