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Background:In Nigeria, with a rising incidence of diabetes mellitus (DM), there are no controlled studies of specific psychiatric morbidity among sufferers. Objective: To assess the prevalence of specific psychiatric disorders and general cognitive impairment in patients with diabetes mellitus. Method: Using Wing's Present State Examination and the Mini-Mental State Examination, we assessed the prevalence of specific psychiatric disorders and cognitive impairment among 100DM patients attending an out-patient clinic, in comparison with a matched non-clinic sample; and examined the relationship between psychiatric morbidity and clinical variables. Results: They were predominantly males (66%), mean age 43.0 years, mean duration of illness, 7.7 years and in low level occupations. Only 11 of the patients had sexual dysfunction (11%) and psychiatric symptoms (31%). Psychiatric diagnosis (ICD-10) were, generalised anxiety (6%) and mild depressive disorder (4%). Two had subjective memory disturbance. Insulin-dependent patients had significantly more widespread psychiatric symptoms than the non-insulin dependent. Psychiatric symptomatology was significantly associated with low occupational status, duration of illness and sexual dysfunction. Conclusion: Health education, subsidising the cost of treatment, and physicians' sensitivity to the emotional condition of patients, will help to relieve psychic distress and make for more adequate management.

Contexte L'épilepsie est un trouble neurologique de l'enfant entrainant une charge lourde dans les pays en développement. La gestion de l'épilepsie comprend le contrôle optimal de la maladie, ainsi que l'amélioration de la qualité de vie (HRQOL) des enfants touchés. Objectifs Cette étude a été menée afin d'évaluer l'HRQOL des enfants nigérians atteints par l'épilepsie ainsi que l'impact psychosocial de la maladie sur les parents des enfants concernés. Méthodes Un questionnaire normalisé adapté de la PedsQL questionnaire a été appliqué pour évaluer les HRQOL chez 66 consécutifs enfants épileptiques, âgés de ≥ 5 années à l'University College Hospital, Ibadan au cours d'une période de 3 mois. Résultats Vingt enfants (30,3%) ont montré d'importantes déficiences dans le HRQOL avec un impact majeur dans les domaines de la santé en général, la vie familiale, scolaire et l'estime de soi. Il y avait une association statistiquement significative entre la gravité de saisie, l'autorité parentale, l'impact émotionnel, le niveau d'éducation maternelle. Conclusion Les atteintes de la qualité de vie (HRQOL) est un problème majeur au Nigeria chez les enfants épileptiques. Le soutien familial étendu ne semble pas avoir d'effet sur l'amélioration du stress vécu. Cette étude suggère la nécessité d'un soutien psychosocial chez les enfants traités par les antiépileptiques.