Aim: To assess the population's knowledge of COVID-19 in order to guide future scientific research on the alternative management of this pandemic by Traditional Pharmacopoeia. Place and Duration of Study: The study was undertaken in Lisala city (province of Mongala, Democratic Republic of the Congo), from 26 July to 10 August 2020. Methodology: The surveys consisted in drafting a questionnaire beforehand to apprehend the knowledge of COVID-19among the surrounding population. The interview was conducted in Lingala language using stratified proportional random sampling method. Results: A total of 200 people were interviewed in Lisala city. The majority were men (63.0% vs. 37.0%). The majority of the respondents were aged between 26-45 years (51.5%). The majority of the respondents were Ngombe people (43.5%), followed by Budja (21.5%), Mongo (13.0%) and Lokele (7.0%) respectively. The best source of information on the pandemic in Lisala city was the radio (72.5%), followed by the multisectoral committee for the response to COVID-19 (17.5%), television (9.0%) and newspapers (1.5%). In the event of contamination, the therapeutic approach recommended by the population is modern medicine (76.5%) as opposed to 23.5% of respondents who prefer to resort to traditional medicine. The majority of respondents prefer health products other than vaccines (71.0% vs. 20.0%). The results of the present survey showed statistically significant difference (at the probability threshold of 0.05: χ2≥9.345 and p-value≤0.05) and relationship (Cramer Pearson V value≥0.216) between educational status of the respondents and variables like knowledge on the disease consequences, knowledge on the COVID-19 agent; remarks concerning communication strategy; the risk of infection from living with a COVID-19 infected people; the fear to be infected; the existence of COVID-19 support structures and the knowledge on barrier. Conclusion and Suggestions: The population's dependence on Traditional Medicine is postulated as one of the protective factors for the population of sub-Saharan Africa against COVID-19. It is therefore desirable to develop a phytochemicals library and its virtual screening in order to partially validate the anti-corona-viral properties of medicinal plants. Computational chemistry and structural biology will thus help to develop sustainable alternative medicine using molecular modelling and dynamics as strategy for predicting bioactivity, pharmacokinetic and toxicological properties of natural products isolated from medicinal plants.
La présente étude vise la mise en valeur des matières premières minérales de Madagascar et leurs utilisations pour la satisfaction des besoins locaux importants.Comme la plupart des traitements des eaux à Madagascar font appel au sulfate d’alumine, qui est encore importé, ce travail propose des produits nouveaux à base d’alumine et de silice, permettant de traiter l’eau par coagulation-floculation. L’objectif est de maîtriser le traitement du kaolin par le sulfate d’ammonium et de valoriser les produits obtenus, notamment dans le domaine du traitement des eaux.Les matières premières utilisées sont le kaolin qui existe en grande quantité à Madagascar et le sulfate d’ammonium qui va devenir localement un sous-produit industriel important d’ici quelques années suite à l’installation d’un grand projet d’extraction du nickel et du cobalt à l’est de Madagascar.Les procédés actuels de préparation d’alumine ou des sels d’aluminium à partir de la kaolinite consistent en général en en une activation thermique à haute température (500 à 800 °C) pendant une durée relativement importante, suivie d’une attaque acide. Dans notre procédé, le kaolin est attaqué par le sulfate d’ammonium sans besoin d’activation préalable, à des températures faibles comprises entre 200 et 350 °C pendant deux heures au maximum, pour obtenir des produits contenant du sulfate d’alumine et aussi de la silice. Or il est connu que la silice, ajoutée en faible quantité, est un adjuvant de floculation du sulfate d’alumine, et les résultats de nos recherches ont montré que l’ensemble du produit d’attaque permet, sans séparation, de traiter aussi bien l’eau potable que les eaux usées urbaines et industrielles.Divers essais de coagulation-floculation avec les produits obtenus ont été effectués sur différents types d’eau et les analyses des eaux traitées confirment que certains de ces nouveaux produits peuvent être utilisés pour traiter les eaux par coagulation-floculation.The present study emphasizes the mineral raw materials of Madagascar and their uses for the satisfaction of important local needs. As most treatments of water in Madagascar (drinking water, wastewaters) call for aluminium sulphate, which is still imported, the present work offers new products based on alumina and on silica, which allow the water to be treated by coagulation-flocculation. The aim is to control the treatment of kaolin by ammonium sulphate and to promote the use of the products of this reaction in water treatment.The raw materials used include kaolin, which exists copiously in Madagascar, and ammonium sulphate, which is going to become a locally-available industrial by-product as a result of the installation of a large plant for the extraction of nickel and cobalt in the east of Madagascar. The current processes for the preparation of alumina or some aluminium salts from kaolinite consist generally of a high-temperature thermal activation (500 to 800°C) of relatively important duration, followed by an acid attack. In our process, the kaolin is attacked by the ammonium sulphate...
Les problèmes environnementaux engendrés par les eaux usées préoccupent les industries d’extraction minières de Madagascar. La méthode de décantations successives dans différents bassins qu’elles appliquent actuellement ne donne pas de résultats satisfaisants. La présente recherche se donne pour objectif de traiter les effluents des industries d’extraction minière d’une autre manière an appliquant la méthode de coagulation-floculation avec le sulfate d’alumine et un biofloculant : l’Opuntia Ficus Indica (OFI) qui est facile à cultiver et à trouver à Madagascar. Deux séries de traitement ont été faites : coagulation-floculation utilisant seulement le sulfate d’alumine, puis coagulation-floculation avec le sulfate d’alumine et le mucilage du biofloculant afin de mettre en évidence l’efficacité de ce dernier. Les résultats ont montré que l’utilisation du mucilage d’OFI lors du traitement des eaux usées d’extraction minière permet d’améliorer les caractéristiques des eaux traitées. Les paramètres étudiés sont surtout la turbidité, le taux des matières en suspension et le taux des métaux lourds contenus dans les eaux. Les doses optimales de 160 mg/l de sulfate d’alumine et 1,75 ml de mucilage d’OFI par litre d’eau à traiter ont permis d’abattre la turbidité et les matières en suspension jusqu’à 97 %, tandis que l’élimination des métaux lourds varie de 20% à 80 % ; les plus éliminés étant le fer et le cuivre et les moins éliminés sont le cadmium et le plomb. Ces abattements pourraient-être améliorés en optimisant les paramètres de traitement tels que le pH, la température et le temps de contact avec les réactifs. L’utilisation de l’OFI seule, sans le sulfate d’alumine, serait intéressante pour la suite de l’étude.
A Madagascar, en ces dernières années, la quantité annuelle de Déchets d’équipements Electriques et Electroniques (DEEE) est estimée à 15 000 tonnes, avec 0,6 kilogrammes par habitant. La finalité principale des DEEE de la filière locale est soit l'export pour traitement dans les usines de recyclage à l'étranger, soit le stockage. L’objectif de cette étude est de mettre en place la valorisation de ces DEEE à Madagascar en commençant par la récupération du cuivre des cartes de circuits imprimés (CCI), par voie hydrométallurgique. Après la collecte, le tri et le démantèlement, les déchets de CCI, ont subi des prétraitements mécaniques, prétraitements chimiques, puis le traitement hydrométallurgique qui comprend les étapes de lixiviation acide oxydante, la séparation solide-lique et l’electroextraction. Ces différentes opérations sont basées sur les matériels disponibles sur le marché local. , l’observation visuelle des CCI après lixiviation permet d’affirmer que les pistes de cuivre ont été dissoutes mais le rendement de l’electroextraction n’est que 0,62%, faute de matériesl adéquats disponibles localement ; La majorité du cuivre extrait se trouve en solution sous la forme d’ions cuivreux Cu2.+ . En effet, la valorisation de la fraction métallique et de la fraction non-métallique dans les DEEE nécessite la pulvérisation préalable des échantillons alors que les matériels disponibles à Madagascar n’ont pas permis d’obtenir cette forme pulvérulente Cette étude a montré auqi que ce procédé doit –êtr optimisé pour être rentable économiquement. Sans analyse chimique préalable, nous ne pouvons pas définir correctement le rendement de nos opérations de prétraitement chimique, de lixiviation et d'électroextraction. Les laboratoires locaux ne sont pas encore équipés pour les recherches sur l'élimination et la valorisation des DEEE.
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