The aim of this study was to describ major limb amputations in a tertiary teaching hospital in N’Djaména, Chad. Patients and Method We realized a both retrospective and prospective study from 01/08/2013 to 31/07/2015 in the General Surgery ward and Orthopedics and Traumatology ward of the National Reference General Hospital of N'Djamena, Chad. Data were collected from patient records, operating theater records and equipment center. Studied parameters: age, sex, indication and level of amputation, length of hospital stay, prosthetic devices and mortality. Results The study population included 155 patients divided into 118 men (70.1%) and 37 women (29.9%), a sex ratio of 2.3. The average age was 43.1 years. Severe limb injuries by road traffic crushes were the first major amputation indication in 74 cases (47.6%), followed by complications of diabetic ulcers in 33 cases (21.4%) and arterial occlusive disease in 21 cases (13.6%). The pelvic and thoracic limbs were affected respectively in 130 cases (84.9%) and 25 cases (16.1%). The levels of amputations were: the leg in 78 cases (50.3%), the thigh in 50 cases (32.3%) and the forearm in 9 cases (5.8%). The average hospital stay was 16 days. We noted wound suppuration in 28.4% of cases and psychiatric events in 4.6%. Mortality was 15.6%. Only 35 patients (22.6%) received a prosthetic device after amputation. Conclusion: road traffic trauma with irreversible vascular damage is the leading indication of major limb amputations in our setting. Complications of diabetic foot are increasing indication. Mostly, traditional bonesetters practiced on the patients before reaching to hospital care. The amputees face great prosthetic difficulties. Major limb amputations are preventable by education, early presentation and management of common indications.
IntroductionLe diabète sucré constitue un véritable problème de santé et ses complications touchent plusieurs organes dont les reins. Un diagnostic précoce de la néphropathie diabétique permet de prendre en charge les patients plus efficacement et de façon multidisciplinaire, de retarder sa progression vers l'insuffisance rénale chronique. Peu d'études ont été faites en Afrique dans ce domaine. Au Tchad, nous ne disposons pas de données statistiques sur l'atteinte rénale liée au diabète. C'est pourquoi nous nous proposons d'étudier la néphropathie diabétique avec pour objectifs d'analyser le profil de la néphropathie diabétique des patients de l'hôpital général de référence nationale de N'Djamena.MéthodesNous avions mené une étude transversale descriptive à l'Hôpital Générale de Référence Nationale de N'Djamena d'avril à septembre 2012. Etaient inclus dans l'étude tous les patients diabétiques hospitalisés ou suivis dans les services de néphrologie et d'endocrinologie.RésultatsIl y avait 54 cas de néphropathie diabétique sur 181 patients soit 29,80%. L'âge de plus de 50 ans représentait 87%, le sexe masculin dominait avec 67%, la durée d'évolution du diabète au moment de la découverte de la néphropathie était de 10,25 ans, la pression artérielle moyenne était de 138 mm Hg, l'HbA1C était supérieur à 6,5% dans 74,5%, l'insuffisance rénale terminale était retrouvée dans 26,90%, une protéinurie à 2,65 g/24 h était détectée dans 60,30%. 57,4% des patients avaient une rétinopathie diabétique au stade III.ConclusionAu Tchad, la fréquence de la néphropathie diabétique est de l'ordre de 29,83%. C'est une affection qui touche les hommes avec une moyenne d'âge de 58,7 ans. Le diabète de type 2 est le plus fréquent avec 90,7% des cas. Les facteurs de risque mal contrôlés pouvaient conduire la néphropathie diabétique vers une altération de la fonction rénale notamment l'HTA (70,8%), un déséquilibre glycémique (66,7%) et une protéinurie (62,5%).
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