The effect of salinity and water stresses on the essential oil components of Rosmarinus officinalis essential oil was investigated. Rosemary plants were submitted to different water treatments: tap water (TW), salt water (SW) and without irrigation (NIR). GC/MS analysis showed that ten and eleven volatile compounds were identified in essential oil of rosemary plants irrigated with tap water (TW) and salt water (SW), respectively. However, thirteen volatile compounds were identified in essential oil of non-irrigated plants (NIR). Moreover, among these compounds, α-Pinene, Eucalyptol (1,8 Cineol), Camphene, Borneol, D-verbenone, Bornyl acetate were the major components of oil. Also, GC/MS results highlighted that non-irrigated rosemary plants showed the highest essential oil yield (Y). Obtained oil yields followed the order YNIR > YTW > YSW. In conclusion, qualitative and quantitative differences in rosemary essential oil components were highlighted in relation to water stress.
The biology of P.oleae was studied over 2 years in an olive yard situated in the region of Cap-Djenet (36°E and 3°7N). It was found that the armoured scale has a cycle of two generations per year. Most often, it is the breeding females that overwinter rather than young females. Fecundity is affected by the tree phenology as well as some of the environmental factors. Increasing temperatures and thrust sap of spring, for instance, affects the time that females spend in laying eggs. It was also shown that high temperatures comprised between 30°C and 35°C affects the oviposition time as well as the number of eggs laid down. Une étude menée pendant 2 années (2001 et 2002) sur la biologie de P.oleae dans une oliveraie d'Algérie située dans la région de Cap-Djenet (36°E, et 3°7N) à révélé que cette cochenille manifeste deux générations annuelles. L'hivernation touche essentiellement les femelles adultes fécondées, rarement les jeunes femelles. La fécondité est en étroite relation avec la phénologie de l'arbre et son environnement. L'élévation de la température et la poussée de sève printanière favorisent le potentiel de ponte. Par contre, les hautes températures comprises entre 30°C et 35°C diminuent la durée d'oviposition et le nombre d'oeufs pondus.
RésuméCette étude a été menée dans un verger d'olivier Olea europaea (Linnaeus) (Oleaceae), dans la région semi-aride d'Ain Touta (Batna, Nord-est Algérie) au cours de la période allant de janvier 2009 à décembre 2010. Le suivi démo-écologique régulier de la cochenille violette de l'olivier Parlatoria oleae (Colvée) (Hemiptera : Diaspididae) a montré que l'espèce évolue en deux générations annuelles : une génération printanière et l'autre automnale. Contrairement à d'autres régions du monde, la ponte est plus tardive avec une durée plus étalée à Ain Touta. Les pontes moyennes variaient de 10,05 ± 1,96 à 10,47 ± 1,15 œufs/femelle pour la première génération et de 9,9 ± 1,69 à 9,16 ± 2,05 pour la deuxième génération. Ces valeurs sont faibles comparées aux moyennes notées dans d'autres régions. L'analyse statistique a montré une variation significative des effectifs de tous les stades entre les mois, mais seulement des effectifs des L2 et des femelles adultes entre les années. Ceci serait en relation avec le phénomène d'hivernation noté pour les stades L2 et les femelles adultes avec des périodes d’étalement différentes d'une année à une autre. Entre les générations, la variation des effectifs était significative chez les pro-nymphes et nymphes ainsi que chez les mâles adultes.
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