In a series of 2,353 multiple sclerosis (MS) patients, 40 subjects presented seizures, with an overall prevalence of 1.70%. The prevalence was 2.33% (34/1,459) in definite MS cases, 0.58 in probable cases (3/518), 0.79 in possible cases (3/376). Twenty-six patients were females, 14 were males. In 13 cases, epilepsy had begun before MS onset; in 4 patients, the two diseases started contemporarily; in 23 patients, epilepsy followed MS onset. No relationship was found between frequency of seizures and course of MS nor between frequency of seizures and MS severity. In 12 patients, magnetic resonance imaging was performed: plaques adjacent to the cerebral cortex were found in 3 cases. The electroencephalogram showed paroxysmal discharges in 11 patients (focal in 2, diffuse in 9). Slow theta and/or delta activity was found in 15 patients (focal in 7, diffuse in 6, both focal and diffuse in 2). The EEG was normal in 14 patients. Possible etiological factors other than MS were recognized in 4 patients only: cranial trauma in 3, meningitis in 1. Our study on a large MS population confirms that MS is associated to a risk for epilepsy higher than that of the general population.

In conclusion, we present this case for the atypical manifestations of CSD. Initially, when we examined the patient, we were sure that the patient was affected by a sexually transmitted disease.We would have not considered the B. henselae. The histological examination and serological titles helped us to recognize a new variant of CSD as pseudo-venereal disease. We have not found a similar case in the literature. We would suggest considering B. henselae infection like a differential diagnosis in patients with penile chancre and lymphadenopathy, when the coltural and serologic tests for common sexually transmitted diseases are negative.

No abstract

La sémantique de l'émotion est fondée dans les vécus de signification et elle demande alors un point de vue interne ; en particulier, il faut préciser des conditions d'émergence et la gestion du sens de l'émotion au sein d'une sémiotique de l'expérience, où la corporalité peut être saisie comme une altérité propre dotée d'un rôle énonciatif à part entière. Ainsi, nous avons choisi d'étudier l'émotion à partir de terrains fertiles (mais opposés) pour son émergence, c'est-à-dire le vertige et la forme de vie.On doit éclaircir, par exemple, comment une forme de vie non seulement prévoit des fractures émotionnelles, mais aspire encore à se garantir en vue de ra¤ermir la connexion entre valences contractées/négociées et valences éprouvées, afin de retrouver une cohésion entre les di¤érents axes identitaires.Par contre, le vertige est une sensation qui se constitue à partir de : a) un égarement du cadre inter-actantiel stabilisé ; b) une incertitude épistémique relative à ses a¤érences intéro-ou extéroceptives ; c) une désolidarisation de la polysensorialité. Les émotions vertigineuses sont alors plus basiques que les autres, car leur émergence n'est pas fonction d'une relation interactantielle visée, mais d'une déstabilisation de l'assiette perceptive et d'une économie figurative dans laquelle les valeurs positionnelles en vigueur sont strictement liées à la vulnérabilité du corps.