Pesticides leaching from soil to surface and groundwater are a global threat for drinking water safety, as no cleaning methods occur for groundwater environment. We examined whether peat, compost-peat-sand (CPS) mixture, NHNO, NHNO with sodium citrate (Na-citrate), and the surfactant methyl-β-cyclodextrin additions enhance atrazine, simazine, hexazinone, dichlobenil, and the degradate 2,6-dichlorobenzamide (BAM) dissipations in sediment slurries under aerobic and anaerobic conditions, with sterilized controls. The vadose zone sediment cores were drilled from a depth of 11.3-14.6m in an herbicide-contaminated groundwater area. The peat and CPS enhanced chemical atrazine and simazine dissipation, and the peat enhanced chemical hexazinone dissipation, all oxygen-independently. Dichlobenil dissipated under all conditions, while BAM dissipation was fairly slow and half-lives could not be calculated. The chemical dissipation rates could be associated with the chemical structures and properties of the herbicides, and additive compositions, not with pH. Microbial atrazine degradation was only observed in the Pseudomonas sp. ADP amended slurries, although the sediment slurries were known to contain atrazine-degrading microorganisms. The bioavailability of atrazine in the water phase seemed to be limited, which could be due to complex formation with organic and inorganic colloids. Atrazine degradation by indigenous microbes could not be stimulated by the surfactant methyl-β-cyclodextrin, or by the additives NHNO and NHNO with Na-citrate, although the nitrogen additives increased microbial growth.

Une enquête a été conduite à l’initiative de la FNESI Fédération nationale des étudiants en soins infirmiers dans les Instituts de Formation en Soins Infirmiers de 6 régions françaises représentatives pour cerner les facteurs de stress ou de satisfaction des étudiants (ESI). Menée de septembre 2008 à juin 2009, elle a recueilli un taux de réponse de 71,2%. Une analyse bivariée a été conduite sur un échantillon tiré au sort de 1450 étudiants, pour déterminer les associations des facteurs de risque potentiels avec un médiocre état de santé global ou la déclaration d’un état de stress. Les étudiants sont de plus en plus nombreux à se déclarer stressés ou en mauvaise santé dès lors qu’ils avancent dans la formation. Leur hygiène de vie n’est pas satisfaisante et ne s’améliore pas avec l’augmentation de leurs connaissances au cours de leurs études : manque de sport, tabagisme, alcool, autres substances addictives... Parmi les étudiants qui déclarent un rythme de formation trop soutenu ou une formation médiocre ou mauvaise, la majorité qualifie leur état de santé de mauvais. La formation pratique reçoit également une opinion défavorable d’un quart des étudiants entrant dans la formation et de 44% des étudiants les plus avancés. L’importance de groupes de paroles, de réflexion et de libre expression joue également un rôle important dans le ressenti de la formation et influe fortement sur la notion du stress ou sur la déclaration de l’état de santé. Cette étude a permis de constater, dans le vécu de l’étudiant, l’importance de la place de l’encadrement, de l’écoute, de l’accompagnement et du tutorat, par des infirmiers référents stables dans chaque stage. Ces aspects doivent être améliorer pour attirer et retenir des étudiants motivés.