Reliability of oil spill modeling in Arctic waters for response planning and risk assessments depends on the accuracy of winds, currents, and ice data (cover and drift) used as input. We compared predicted transport in ice, using ice and ocean model results as input, with observed drifter trajectories in the Beaufort Sea and an experimental oil release in the Barents Sea. The ice models varied in ice rheology algorithms used (i.e., ElasticViscous-Plastic, presently used in climate models, versus a new Elasto-Brittle approach in pack ice) and the time averaging of their outputs, which were provided as input to oil spill models. Evaluations of model performance (skill) against drifters showed improvement using Elasto-Brittle instead of Elastic-Viscous-Plastic rheology. However, model skill was degraded by time-averaging of ocean and ice model vectors before input to the oil spill model. While the accuracy of individual oil model trajectories projected weeks to months into the future is expected to be low, in the event of a spill, forecasts could be updated frequently with satellite and other observations to improve reliability. Comparisons of modeled trajectories with drifters verified that use of the ice-ocean models for ensemble modeling as part of risk assessments is reliable.Key words: trajectory model, ice drifter, ice model, Arctic spill response, oil weathering in ice.Résumé : La fiabilité de la modélisation de déversement de pétrole dans les eaux arctiques en vue d'un plan d'intervention et d'évaluations de risque dépend de l'exactitude des données sur les vents, les courants et les glaces (la couverture et la dérive) utilisées comme données d'entrée. Nous avons comparé le transport prévu dans les glaces, utilisant les résultats de modèles des glaces et océanique comme données d'entrée, avec des trajectoires de dérive observées dans la mer de Beaufort et un rejet de pétrole expérimental dans la mer de Barents. Les modèles des glaces variaient selon les algorithmes de rhéologie de glace utilisés (c'est-à-dire, plastique-visqueux-élastique, actuellement utilisé dans les modèles climatiques, contre une nouvelle approche élasto-fragile dans la banquise) et la détermination des moyennes de leurs résultats, fournis comme données d'entrée pour les modèles de déversement de pétrole. Les évaluations de la performance (capacité) du modèle par rapport aux dérives ont présenté une amélioration lorsqu'on utilisait la rhéologie élasto-fragile au lieu de plastique-visqueux-élastique. Cependant, la capacité du modèle s'est dégradée à cause de la détermination des moyennes de vecteurs des modèles océaniques et des glaces avant que ceux-ci ne soient introduits dans le modèle de déversement de pétrole. Tandis qu'on s'attend à ce que l'exactitude des trajectoires projetées par des modèles pétroliers particuliers des semaines à des mois à l'avenir ne soit pas grande, dans le cas d'un déversement, les prévisions pourraient fréquemment être mises à jour à l'aide d'observations par satellite et Mots-clés : modèle à tr...