Objective: Mismatch Repair Deficiency (dMMR) / Microsatellite Instability (MSI) is a key biomarker in colorectal cancer (CRC). Universal screening of CRC patients for dMMR/MSI status is now recommended, but contributes to increased workload for pathologists and delayed therapeutic decisions. Deep learning has the potential to ease dMMR/MSI testing in clinical practice, yet no comprehensive validation of a clinically approved tool has been conducted. Design: We developed an MSI pre-screening tool, MSIntuit, that uses deep learning to identify MSI status from H&E slides. For training, we used 859 slides from the TCGA database. A blind validation was subsequently performed on an independent dataset of 600 consecutive CRC patients. Each slide was digitised using Phillips-UFS and Ventana-DP200 scanners. Thirty dMMR/MSI slides were used for calibration on each scanner. Prediction was then performed on the remaining 570 patients following an automated quality check step. The inter and intra-scanner reliability was studied to assess MSIntuit's robustness. Results: MSIntuit reached a sensitivity and specificity of 97% (95% CI: 93-100%) / 46% (42-50%) on DP200 and of 95% (90-98%) / 47% (43-51%) on UFS scanner. MSIntuit reached excellent agreement on the two scanners (Cohen's κ: 0.82) and was repeatable across multiple rescanning of the same slide (Fleiss' κ: 0.82). Conclusion: We performed a successful blind validation of the first clinically approved AI-based tool for MSI detection from H&E slides. MSIntuit reaches sensitivity comparable to gold standard methods (92-95%) while ruling out almost half of the non-MSI population, paving the way for its use in clinical practice.
Anomalias genéticas que resultam em alteração de coloração não são frequentes em Xenarthra e poucos registros foram descritos até o momento. Aqui relatamos o primeiro registro conhecido dessa alteração cromática em Myrmecophaga tridactyla e novos registros dessas alterações para Tamandua tetradactyla na América do Sul. Trazemos também um registro publicado online em um jornal local e discutimos alguns dos problemas inerentes a essas condições.
La diversité culturelle, consacrée par l’UNESCO comme patrimoine commun de l’humanité, s’inscrit dans le double cadre de la culture et de la mondialisation, deux notions aux contours flous. Elle constitue pour l’UNESCO une fin en soi, afin de ne pas réduire la culture à sa seule dimension commerciale. Le texte de l’UNESCO soutient la spécificité des biens et des services culturels « porteurs d’identité, de valeurs et de sens » ne pouvant donc être « considérés comme des marchandises ou des biens de consommation comme les autres ». Cependant de la réflexion des États membres perturbée par les avis dissidents des États-Unis, est née une Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles . Il s’agit alors de protéger la diversité des expressions culturelles. Cette différence terminologique traduit l’édulcoration du contenu. Doit-on en conclure qu’il s’agit d’un texte assurant le triomphe de la culture, ou confortant la domination du commerce ? Reste que le débat houleux sur la diversité culturelle a donné naissance à un texte consensuel dont il convient de dresser les grandes lignes. ■
En Corse comme en Sardaigne, la question de l'autonomie statutaire, qu'il s'agisse dans le premier cas de son octroi et dans le second de son élargissement, domine l'actualité. Pour autant, le problème de l'adaptation à ces deux territoires insulaires du cadre juridique national relatif au littoral ne saurait être négligé, en raison de ses enjeux juridiques, politiques et économiques. A cet égard, l'on a pu constater qu'à la limitation partielle de l'adaptation des acteurs, surtout perceptible en Corse, due aux ajustements, soit inachevé pour les acteurs déconcentrés, soit différencié pour les acteurs décentralisés, s'ajoutait une extension progressive des règles, surtout manifeste en Sardaigne, résultant d'un champ d'application plus large des règles décentralisées que déconcentrées.
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