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den1Ausfall des Pulsdruckes eine grost Bedcutung fur die Prognose des Diphtherieherzens zukommt.Prof. ROBERT D E B R~, Paris.Avec 31. G. RAMOND et M. UHRY, nous avons btudi6 experimentalemetit les accidents nerveux de la diphtbrie. Nous avons pi1 reproduire chez l'animal, en particulier chez le cobaye, toutes les manifestations des paralysies diphthriques, depuis la parbie du niveau du membre ou l'on a inject6 la substance toxique jusqu'aux paralysies g6nhralishes. Au coups tle celles-ci, les animaux prbsentent souvent des accidents cardio-respiratoires qui rappellent, de t r b prbs, ceux que l'on observe chez l'hommo clans des circonstances analogues et ils succombent de syncope, comme on le voit chez I'hommc, dans le cas de dipht6rie toxique tardivement mortelle. Or, ii l'autopsie de ces animaux on ne trouve gubre de ICsions ail iiiveau du cceur lui-mbme, par contre le nerf pneumogastrique pr6senta les alterations conqid6rables et constantes, que now avons Btudibes avec le prof. LHERMITTE. Ces faits nous ont conduit h envisager les accidents attribds a la myocaidite comme dus tr&s souvent, k une polyiievrite attcignant, les nerfs cartliaqnes, notaniment le nerf pneumogastrique. Prof. RIETSCHEL.Schon seit BEHRING'S Zeit wird immer von neuem die Frage diskutiert, ob die Wirksamkeit des Diphtherielieilserums auch wirklich einem spezifischen Antitoxin zuzuschreiben ist. Besonders BINGEL glaubte an der Hand von 337 FLllen, die er zur HLlfte init Antitoxinserum, zur HLlfte mit Leerserum behandelte, wobei die Letalitit bei beiden Gruppen die gleiche war, bewiesen z u haben, dass die klinische Wirksamkeit des Diphtherieserums einer unspezifischen Proteinwirkunp zuzuschreiben sei. Neuerdings hat HOTTINGER auf Grund eines Materials von 60 Patienten, die er abwechselnd niit Diphtherieserum bezw. Leerserum