The objective of Integrated Care Pathways for Airway Diseases (AIRWAYS-ICPs) is to launch a collaboration to develop multi-sectoral care pathways for chronic respiratory diseases in European countries and regions. AIRWAYS-ICPs has strategic relevance to the European Union Health Strategy and will add value to existing public health knowledge by: 1) proposing a common framework of care pathways for chronic respiratory diseases, which will facilitate comparability and trans-national initiatives; 2) informing cost-effective policy development, strengthening in particular those on smoking and environmental exposure; 3) aiding risk stratification in chronic disease patients, using a common strategy; 4) having a significant impact on the health of citizens in the short term (reduction of morbidity, improvement of education in children and of work in adults) and in the long-term (healthy ageing); 5) proposing a common simulation tool to assist physicians; and 6) ultimately reducing the healthcare burden (emergency visits, avoidable hospitalisations, disability and costs) while improving quality of life. In the longer term, the incidence of disease may be reduced by innovative prevention strategies. AIRWAYSICPs was initiated by Area 5 of the Action Plan B3 of the European Innovation Partnership on Active and Healthy Ageing. All stakeholders are involved (health and social care, patients, and policy makers). @ERSpublications AIRWAYS-ICPs: launch of a collaboration to develop multi-sectoral integrated care pathways for respiratory disease http://ow.ly/v35Gh PERSPECTIVE INTEGRATED CARE PATHWAYS FOR AIRWAY DISEASES
This implementation project showed that a discharge planning intervention can reduce institutionalization rates of elderly patients in real-life settings.
RésuméCette étude analyse les déterminants de choix des populations pour les centres de santé par une enquête de comportement des ménages sur un échantillon représentatif de 1000 ménages, dans les zones de santé de Kinshasa, Congo en 1997. Pour le dernier épisode de maladie, les répondants ont recouru à 7 types des soins: le centre de santé (37%), le dispensaire privé (26,5%), l'automédication pharmaceutique (23,9%), le tradipraticien (21%), l'automédication traditionnelle (16,9%), la polyclinique conventionnée (16,7%) et un hôpital de référence (10,4%). La régression logistique a montré que l'on recourt d'autant plus au centre de santé qu'à une autre structure de soins (P Ͻ 0,05) lorsqu'on recherche la qualité des soins, l'application de bons tarifs et l'offre de services polyvalents. Par contre, le souci de proximité géographique par rapport au lieu de résidence du ménage appelle à utiliser le dispensaire privé. Lorsqu'on recherche la présence d'un médecin ou l'existence d'une convention on choisit plutôt la polyclinique privée conventionnée. Ceux qui ont cherché une solution à un type particulier de maladie ont plutôt choisi le tradipraticien. En conclusion, les résultats de cette étude montrent que si les populations choisissent les soins offerts par le centre de santé, c'est parce qu'elles les jugent de bonne qualité. Des soins intégrés et offerts par le même technicien, de formation requise, sont un atout majeur à l'acceptabilité du premier échelon des soins de santé primaires à Kinshasa. Cette étude suggère qu'il serait sans doute bénéfique d'intégrer les structures de soins privées non officielles dans le système des soins de santé primaires, pour autant qu'elles puissent atteindre un niveau de qualité comparable à celui des centres de santé. Pour que le tradipraticien puisse jouer un rôle complémen-taire important dans la réalisation des soins de santé primaires, même en milieu urbain, il est suggéré d'étudier la possibilité de privilégier des lieux de communication. En outre, étant donné le faible pouvoir d'achat des habitants de la ville et l'existence préalable des tontines de solidarité, des conventions apportant un allégement du coût des soins de santé dans le chef des communautés locales devraient pouvoir être intégrées dans l'organisation du système de santé urbain. SummaryThis study analyses the choice determinants of the population for health centres through a survey of the behaviour of families in a representative sample of 1000 households in the health districts of Kinshasa, Congo in 1997. For the most recent episode of illness, the respondents turned to seven types of care: the health centre (37%), private dispensaries (26.5%), self-medication through a pharmacy (23.9%), traditional practitioner (21%), traditional self-medication (16.9%), private outpatients' clinic (16.7%) and a reference hospital (10.4%). Past logistics have shown that patients resort to a health centre rather than another type of care structure (P ϭ 0.05) when looking for quality care, reasonable prices and the availabil...
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