In this paper, we examine previously unstudied archaeological fish remains recovered during Mansuy's first excavation in 1902 from the inland Samrong Sen midden site in Cambodia and which are currently stored at the Musée de l'Homme, Paris, France. The remains are dated by association to the Neolithic/Bronze Age between 2206 and 1892 cal. bc from a time when the development of metal age trade and exchange networks contributed substantially to the success of many cultures in this diverse region. We focus on the taxonomy of the fish captured and the implications for technology and regional networks. The identification of two perforated shark vertebrae beads indicates that, during the late Neolithic to Bronze Age period, trade and exchange between coastal and inland communities was prominent on mainland Southeast Asia.

La découverte de restes de riz parmi les dégraissants des poteries du site de Samrong Sen et ses implications sur l'histoire de la culture du riz dans le centre du Cambodge. II est fort possible que la culture et la domestication du riz dans les plaines inondables du centre du Cambodge remontent à la préhistoire. Certaines fouilles archéologiques menées par l'auteur sur le site de Samrong Sen, situé dans la zone inondable du Tonle Sap, ont montré que la balle de riz était, parmi d'autres sous-produits agricoles, utilisée comme dégraissant dans les poteries. Les restes analysés pourraient remonter à 3 600 ans au plus tard. En 1999, l'analyse de quelques centaines de tessons mis au jour sur le site a permis d'identifier pour la première fois un certain nombre de spécimens de grains de riz entiers. L'analyse morphologique de chaque spécimen a révélé que certains d'entre eux présentaient des traits caractéristiques de la sous-espèce Oryza indica et de certaines variétés d'Oryza sativa. Le présent article présente les résultats de l'analyse des restes de riz mis au jour à Samrong Sen, examine l'histoire de l'apparition du riz dans la zone du Tonle Sap et suggère quelques pistes de recherche dans le domaine du riz à l'époque préhistorique au Cambodge.

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Soils and foundation of Bayon temple of Angkor Thom has been studied since 1994 by Japanese Government Team for Safeguarding Angkor (JSA). The main tower of Bayon of 32m in height from the base foundation mound consists of manmade fill of 14 m in thickness. The foundation was studied and found as a simple shallow direct foundation. This is just like a 10 story RC building standing upon thick manmade sand fill without such a deep foundation as piling. At present, such a structure based upon thick sandy fill shall lose the foundation stability in the dry season under the monsoon climate of South-eastern Asia. The amazing mechanism, standing for 700 years, has been identified as the unsaturated characteristics of well compacted silty sand.

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