We have examined an isovalent Rh substitution effect on the transport properties of the thermoelectric oxide Ca 3 Co 4 O 9 using single-crystalline form. With increasing Rh content x, both the electrical resistivity and the Seebeck coefficient change systematically up to x = 0.6 for Ca 3 Co 4−x Rh x O 9 samples. In the Fermi-liquid regime where the resistivity behaves as ρ = ρ 0 + AT 2 around 120 K, the A value decreases with increasing Rh content, indicating that the correlation effect is weakened by Rh 4d electrons with extended orbitals. We find that, in contrast to such a weak correlation effect observed in the resistivity of Rh-substituted samples, the low-temperature Seebeck coefficient is increased with increasing Rh content, which is explained with a possible enhancement of a pseudogap associated with the short-range order of spin density wave. In high-temperature range above room temperature, we show that the resistivity is largely suppressed by Rh substitution while the Seebeck coefficient becomes almost temperature-independent, leading to a significant improvement of the power factor in Rh-substituted samples. This result is also discussed in terms of the differences in the orbital size and the associated spin state between Co 3d and Rh 4d electrons.

Cet article cherche à examiner la thèse fondamentale de Neue Phänomenologie in Frankreich, selon laquelle la spécificité du mouvement phénoménologique récent en France consisterait à décrire le « phénomène phénoménologique » d’une nouvelle manière et précisément selon son « événementialité ». À cette fin, il ne suffit pas simplement de reconstruire ou de résumer cette thèse telle qu’elle est exposée dans l’ouvrage, mais il est également nécessaire de construire de manière progressive le concept général d’événement et celui de « phénomène phénoménologique » conçu selon son événementialité. Cette étude essaie de répondre aux trois questions suivantes : qu’est-ce que la « nouvelle phénoménologie en France » ; qu’entend-t-on couramment par « événement » ? ; comment cette transformation du concept phénoménologique de phénomène motive-t-elle une réorganisation remarquable de sa méthode, à laquelle Janicaud a reproché d’être un « tournant théologique » ?

No abstract