Abstracts
The hypothesis that the modification of parent‐child interaction would reduce the dysfluency of a preschool child was tested in an experimental single‐case study. The subject, a four‐year‐old boy with a moderate to severe stutter, and his parents attended their local clinic for a total of 17 weeks. On each visit, 20‐minute play periods with each parent were recorded and measures of fluency taken. No advice was offered in the first six weeks and these measures were used as a baseline for subsequent therapy. Therapy was given over the next six weeks. The parents were advised to make changes in their style of interaction and were asked to practise these at home each day. During the final five weeks, which served as consolidation, the parents continued to practise their skills at home but no new advice was offered. The analysis found no significant trend in the child's dysfluency during the baseline period, a significant improvement during therapy and stabilisation of the lower rate of dysfluencies during the maintenance period.
Une étude expérimentale portant sur un cas unique a servi à tester l'hypothèse que la modification de l'interaction entre parents et enfant permettrait de réduire le défaut d'élocution d'un enfant d'age préscolaire. Le sujet, un garçon de quatre ans souffrant d'une forme modérée de bégaiement, est allé avec ses parents à un service de consultation local pendant 17 semaines au total. Lors de chaque visite l'on a procédé à l'enregistrement de périodes de jeu de 20 minutes avec chaque parent et à des mesures du défaut d'élocution. L'on s'est gardé de donner aucun conseil pendant les six premières semaines qui ont servi de base de départ pour le traitement qui a suivi; ce dernier a duré pendant les six semaines suivantes, au cours desquelles l'on a conseillé aux parents de modifier leur type d'interaction et chaque jour de mettre en pratique à la maison les modifications. Pendant les cinq dernières semaines, qui ont servi de consolidation, les parents ont continué de pratiquer leur technique à la maison sans bénéficier de nouveaux conseils. L'analyse n'a révélé aucune tendance significative dans le défaut d'élocution de l'enfant pendant la période de base, une amélioration significative pendant le traitement et une stabilisation du niveau plus bas du défaut d'élocution pendant la période de maintien.
Die Hypothese, daβ eine Umstellung der Eltern‐Kindinteraktionen Sprechfluβstörungen bei einem Vorschulkind reduzieren könnte, wurde in einer experimentellen Einzelfallstudie geprüft. Ein vierjähriger, Junge mit mäβigem Stottem besuchte 17 Wochen long mit seinen Eltern die Sprachtherapieklinik in seiner Nähe. Beijedem Besuch wurden eine 20‐minütige Spielphase mitjedem Eltemteil aufgezeichnet und daraus die Sprechfluβwerte erhoben. In den ersten sechs Wochen die als Basis für die darauffolgende Thérapie dienten, wurden keine Ratschläge gegeben. In den folgenden sechs Wochen fand die Therapie statt. Den Eltern wurde geraten, bestimmte Veränderungen in ihrem Interaktionsstil vorzunehmen und den...