Cet article examine un contexte particulier de travail avec les chevaux permettant la conversion du « capital équin » issu de la culture rurale brésilienne en un ensemble de compétences réutilisables à l’étranger. Il rejoint d’autres études sur la mobilité de certains travailleurs contemporains, notamment dans le domaine du sport mondial. Les trajectoires singulières de personnes qui, grâce au cheval, cherchent à se stabiliser et à se réaliser apparaissent pertinentes pour les débats en cours sur la mondialisation de la vie sociale.