This paper reports on recent progress towards improved predictions of a land surface-hydrological modelling system, Modélisation Environmentale-Surface et Hydrologie (MESH), via its calibration over the Laurentian Great Lakes Basin. Accordingly, a "global" calibration strategy is utilized in which parameters for all land class types are calibrated simultaneously to a number of sub-basins and then validated in time and space. Model performance was evaluated based on four performance metrics, including the Nash-Sutcliffe (NS) coefficient and simulated compared with observed hydrographs. Results from two calibration approaches indicate that in the model validation mode, the global strategy generates better results than an alternative calibration strategy, referred to as the "individual" strategy, in which parameters are calibrated individually to a single sub-basin with a dominant land type and then validated in a different sub-basin with the same dominant land type. The global calibration strategy was relatively successful despite the large number of calibration parameters (51) and relatively small number of model evaluations (1000) used in the automatic calibration procedure. The NS values for spatial validation range from 0.10 to 0.72 with a median of 0.41 for the 15 sub-basins considered. Results also confirm that a careful model calibration and validation is needed before any application of the model. RÉSUMÉ [Traduit par la rédaction] Cet article présente les progrès récents vers des prévisions améliorées d'un système de modélisation hydrologique et de la surface du sol, le MESH (Modélisation environnementale-surface et hydrologie) par le biais de son étalonnage dans le bassin des Grands Lacs laurentiens. À cette fin, nous utilisons une stratégie d'étalonnage « d'ensemble » dans laquelle les paramètres pour tous les types de catégories de sol sont étalonnés simultanément pour un certain nombre de sous-bassins et validés dans le temps et dans l'espace. Nous avons évalué la performance du modèle d'après quatre mesures de performance, y compris le coefficient de Nash-Sutcliffe (NS), et comparé les simulations aux hydrogrammes observés. Les résultats de deux méthodes d'étalonnage indiquent que dans le mode de validation du modèle, la stratégie d'ensemble produit de meilleurs résultats qu'une autre stratégie d'étalonnage, désignée sous le nom de « stratégie individuelle », dans laquelle les paramètres sont étalonnés individuellement pour un sous-bassin unique avec une catégorie de sol dominante puis validés dans un sous-bassin différent avec la même catégorie de sol dominante. La stratégie d'étalonnage d'ensemble s'est avérée assez efficace malgré le grand nombre de paramètres d'étalonnage (51) et le petit nombre d'évaluations du modèle (1000) utilisées dans la procédure d'étalonnage automatique. Les valeurs NS pour la validation spatiale vont de 0,10 à 0,72 avec une médiane de 0,41 pour les 15 sous-bassins considérés. Les résultats confirment aussi qu'un étalonnage et une validation minutieux du modèle sont nécessa...