2009
DOI: 10.7202/038465ar
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Automobile, transports urbains et mutations : l’automobilisation urbaine de Québec, 1919–1939

Abstract: Résumé Certains objets techniques ont eu plus d’influence que d’autres sur la société et ses individus. L’automobile est sans conteste celui qui a suscité le plus grand nombre de mutations. En nous concentrant sur l’exemple de Québec durant l’entre-deux-guerres, nous mettons en lumière quelques-unes des mutations majeures produites par l’automobilisation sur la ville, le réseau routier et les transports urbains. En examinant les rapports entre l’automobile et le paysage urbain, cet article s’attache … Show more

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“…Comme dans la plupart des villes nordaméricaines, ceux-ci ont disparu dans les années 1940 ou 1950 pour diverses raisons : faible qualité du service, baisse de la clientèle, compétition de l'automobile et de l'autobus, etc. (Faugier, 2009). Depuis environ 20 ans, le tramway revient à la mode.…”
Section: Le Projet De Tramway à Québecunclassified
“…Comme dans la plupart des villes nordaméricaines, ceux-ci ont disparu dans les années 1940 ou 1950 pour diverses raisons : faible qualité du service, baisse de la clientèle, compétition de l'automobile et de l'autobus, etc. (Faugier, 2009). Depuis environ 20 ans, le tramway revient à la mode.…”
Section: Le Projet De Tramway à Québecunclassified
“…Ces règles connaissent d'ailleurs à partir des années 1920 un phénomène d'accroissement et de complexification, avec par exemple les premiers règlements de la circulation (1910à Paris, 1926 ou encore les sens uniques, qui peuvent désorienter les automobilistes extérieurs et les amener à commettre des infractions dommageables pour la circulation locale et le plaisir de leur séjour. L'intérêt pour la signalisation automobile vient aussi des associations d'usagers, principalement l'Automobile-Club et le Touring-Club de France, ainsi que des industriels du secteur comme Michelin ou Citroën, qui s'impliquent dans le développement des panneaux de signalisation en fournissant leurs propres panneaux à des gestionnaires et des municipalités aux budgets restreints, panneaux déployés tant en zone rurale qu'urbaine (Faugier, 2009). Ainsi, le premier plan de signalisation automobile lyonnais est proposé par la société Citroën, qui prévoit la pose de quatre-vingt-dix-sept plaques émaillées sur des poteaux d'éclairage municipal pour indiquer le centre-ville et la direction des principales grandes villes accessibles depuis les grands axes lyonnais.…”
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