Dothistroma needle blight (DNB) has caused extensive mortality in plantations of lodgepole pine in northwestern British Columbia, Canada, and even mature pine trees in natural forests are succumbing. We examined a number of explanatory models to determine which temperature or precipitation variable is most important in explaining DNB outbreak occurrence. We compared a multicentury tree-ring outbreak reconstruction with mean monthly temperature and total monthly precipitation during the individual and seasonal spring (April, May, June) and summer (July, August, September) months. A trend towards increased August minimum temperatures appears to be an important climate factor contributing to the spread of the disease. Graphical comparisons of total April precipitation reveal that periods of above-average precipitation coincided with periods of outbreak increase. Decreases in August minimum temperature also correspond to decreases in outbreak severity. Even more pronounced was a spike in spring precipitation and its association with the current epidemic. The correspondence of past outbreaks with periods of wet and warm conditions suggests that regional climate trends drive DNB behavior. The extent and severity of the current disease epidemic raises the possibility that the key factors that drive outbreaks have become more frequent, enabling the emergence of DNB as a serious disease.Résumé : La brûlure en bandes rouges des aiguilles a causé beaucoup de mortalité dans les plantations de pin tordu latifolié du nord-ouest de la Colombie-Britannique, au Canada; il y a même des pins matures qui meurent dans les forêts naturelles. Nous avons examiné plusieurs modèles explicatifs pour déterminer quelle variable de température ou de précipitation est la plus importante pour expliquer le déclenchement des épidémies de brûlure. Nous avons comparé une reconstitution dendrochronologique des épidémies sur plusieurs siècles avec la température mensuelle moyenne et la précipitation mensuelle totale durant chaque mois de printemps (avril, mai, juin) et d'été (juillet, août, septembre) et durant chacune de ces saisons. Une tendance à l'augmentation des températures minimum au mois d'août semble être un facteur climatique important qui favorise la propagation de la maladie. Des comparaisons graphiques de la précipitation totale du mois d'avril révèlent que les périodes durant lesquelles la précipitation est supérieure à la moyenne coïncident avec les périodes durant lesquelles il y a une augmentation des épidémies. Les diminutions de la température minimum du mois d'août correspondent aussi à des diminutions de la sévérité des épidémies. L'association entre une augmentation des précipitations printanières et l'épidémie actuelle était encore plus prononcée. La correspondance des épidémies passées avec des périodes caractérisées par des conditions chaudes et humides indique que les tendances du climat régional déterminent le comportement de la brûlure. L'étendue et la sévérité de l'épidémie actuelle de la maladie soulève la possibilité q...