The impact of strawberry leaf scorch, caused by Diplocarpon earlianum, on net CO 2 assimilation (A) and transpiration (E) rates was determined for both greenhouse-and field-grown plants. In the greenhouse, strawberry (Fragaria ×ananassa) plants were inoculated with an aqueous suspension of D. earlianum (1 × 10 5 conidia/mL) and placed in environmental conditions to generate a range of disease severities. Photosynthesis measurements on individual leaflets of greenhouse-grown plants ('Kent') were taken in a biotron under saturating light conditions. Photosynthesis was also measured on leaflets in a naturally infected field planting of 'Jewel' in 2003. Leaf-scorch severity ranged from 0% to nearly 100% on individual leaflets. Strong negative linear correlations were found between the proportion of leaflet area with visual symptoms and A, E, and water-use efficiency (WUE = A/E). "Physiological-lesion" size was estimated to be 1.6 and 2.1 for greenhouse-grown and field-grown plants, respectively, meaning that the total area of leaflet tissue affected by leaf scorch was 1.6-2.1 times larger than the leaflet area showing visual symptoms of the disease. The larger physiological lesion found in field-grown plants may be due to field-associated stress factors or cultivar variability. The results have application for establishing guidelines for the management of foliar diseases of strawberry.Résumé : L'impact de la maladie des taches pourpres du fraisier, causée par le Diplocarpon earlianum, sur l'assimilation nette de CO 2 (A) et la transpiration (E) fut déterminé pour des plantes cultivées en serre et au champ. En serre, les plants de fraisiers (Fragaria ×ananassa) furent inoculés avec une suspension aqueuse de D. earlianum (1 × 10 5 conidies/mL) et placé dans des conditions environnementales favorables à la génération d'une gamme d'intensités de maladie. Des mesures de la photosynthèse sur des folioles individuelles de plantes de serre ('Kent') furent effectuées dans un biotron avec saturation de lumière. La photosynthèse fut également mesurée sur des folioles dans une plantation de 'Jewel' infecté naturellement en 2003. L'intensité de la maladie des taches pourpres varia de 0% à presque 100% sur des folioles individuelles. Une forte corrélation linéaire négative fut trouvée entre la proportion de surface des folioles avec symptômes, d'une part, et A, E ainsi que l'efficience de l'utilisation de l'eau (EAE = A/E), d'autre part. La taille des « lésions physiologiques » fut estimée respectivement à 1,6 et 2,1 pour les plantes en serre et celles en champ, ce qui veut dire que la surface totale de tissu des folioles affectées par la maladie des taches pourpres était de 1,6 à 2,1 fois plus grande que celle des folioles montrant des symptômes visuels de maladie. Les lésions physiologiques plus grandes trouvées sur les plantes en champ peuvent être dues à des stress associés au champ ou à la variabilité variétale. Ces résultats sont pertinents pour l'établissement de directives dans la lutte contre les maladies foliaires du fra...