Huanglongbing (HLB) is the most destructive disease of citrus worldwide. Monitoring of health and detection of diseases in trees is critical for sustainable agriculture. HLB symptoms are virtually the same wherever the disease occurs. The disease is caused by Candidatus Liberibacter spp., vectored by the psyllids Diaphorina citri Kuwayama and Trioza erytreae. Electron microscopy was the first technique used for HLB detection. Nowadays, scientists are working on the development of new techniques for a rapid HLB detection, as there is no sensor commercially accessible for real-time assessment of health conditions in trees. Currently, the most widely used mechanism for monitoring HLB is exploration, which is an expensive, labor-intensive, and time-consuming process. Molecular techniques such as polymerase chain reaction are used for the identification of HLB disease, which requires detailed sampling and processing procedures. Furthermore, investigations are ongoing in spectroscopic and imaging techniques, profiling of plant volatile organic compounds, and isothermal amplification. This study recognizes the need for developing a rapid, cost-effective, and reliable health-monitoring sensor that would facilitate advancements in HLB disease detection. This paper compares the benefits and limitations of these potential methods for HLB detection.Key words: HLB, detection, trees, monitoring, health.Résumé : La maladie du dragon jaune (MDJ) est la maladie des agrumes la plus destructrice au monde. Pour assurer la durabilité agricole, il est essentiel de contrôler la santé et la présence de maladies chez les arbres. Les symptômes de la MDJ sont pratiquement les mêmes quel que soit le point d'origine de la maladie. Celle-ci est causée par Candidatus Liberibacter spp. et transmise par les psylles Diaphorina citri Kuwayama et Trioza erytreae. La technique de microscopie électronique fut le premier mode de détection de la MDJ. De nos jours, des scientifiques travaillent à l'élaboration de nouvelles techniques de détection de la MDJ puisqu'il n'existe aucun détecteur commercial permettant l'évaluation de l'état de santé des arbres en temps réel. Actuellement, on doit la plupart du temps recourir à l'exploration pour surveiller la MDJ, un processus laborieux, coûteux et pénible. On a recours à des techniques moléculaires comme la réaction de la polymérase en chaîne pour identifier la MDJ, ce qui exige un prélèvement et un traitement minutieux. Par ailleurs, on évalue présentement des techniques de spectroscopie et d'imagerie, le profilage de composés végétaux organiques volatils et l'amplification isothermique. La présente étude met en relief le besoin de mettre au point un dispositif d'analyse de l'état de santé qui serait à la fois rapide, rentable et fiable et qui permettrait de faire progresser la détection de la MDJ. Cet article compare les avantages et les limites de ces méthodes aspirant à la détection de la MDJ. [Traduit par la Rédaction]