“…The animals were fed once daily with two different proportions (20 and (Ruckebusch, 1963 ;Geoffroy, 1974 al., 1972 ;El-Hag, 1976 ;Blanchart et al, 1980 ;Mohamed et Owen, 1981). Les autres concernent des fourrages tropicaux pauvres et mènent à la conclusion que la chèvre digère mieux les fibres que le mouton (El-Hag, 1976 ;Gihad, 1976 ;Gihad et a/., 1980 ;Devendra, 1978, 19811 (Ruckebusch, 1967 ;Focant et al, 1979), par l'acidité du contenu ruminal ou sa pression osmotique élevée (Welch, 1982 (Ruckebusch, 1967) (Gordon, 1958b Lawn, 1957 ;Gordon, 1958aGordon, , 1958bPearce, 1965 ;Geoffroy, 1974 ;Metz, 1975 ;Bae et al, 1979 Pour les deux espèces étudiées, le taux d'AGV dans le rumen est toujours plus élevé après l'ingestion de la ration la plus riche en concentrés, c'est-à-dire la plus énergétique.…”