Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne.https://apropos.erudit.org/fr/usagers/politique-dutilisation/ Cet article est diffusé et préservé par Érudit.Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l'Université de Montréal, l'Université Laval et l'Université du Québec à Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. Résumé de l'article Au sein des universités nord-américaines, la diversité linguistique des classes ordinaires de composition anglaise (« L1 ») ressemble de plus à plus à ce que l'on retrouve dans les classes de rédaction ALS (« L2 »). Au fur et à mesure que les différences de ces deux groupes s'atténuent, les intervenants formés spécialement en rédaction L2 pourraient fort bien se demander si les besoins des personnes dont la langue maternelle n'est pas l'anglais sont reconnus et pris en compte dans les classes ordinaires. L'auteure examine plusieurs constructions théoriques différentes qui ont étoffé et continuent d'étoffer la littérature sur la pédagogie de la composition L1, démontrant que certaines permettent une meilleure inclusion des groupes ayant des profils linguistiques différents que d'autres. Heureusement, le récent virage favorisant des approches sociales et critiques de l'enseignement de la composition reflète bien les préoccupations des professeurs de rédaction L1 et L2. De plus en plus d'attention est apportée aux discussions sur la « diversité linguistique », un terme qui englobe maintenant les personnes dont la langue maternelle n'est pas l'anglais. Cette situation donne à penser qu'il y aura une convergence dans les activités des professeurs de rédaction L1 et L2, qui entraînera des avantages pour les groupes de divers profils linguistiques.
MC O 2 SPRING 2008
L2 Writing and L2 Composition in English
L2 WRITING AND L1 COMPOSITION IN ENGLISH: TOWARDS AN ALIGNMENT OF EFFORT
McGill UniversityIn North American university contexts, the language diversity found in English mainstream composition ("L1") classrooms resembles more and more that found in ESL ("L2") writing classrooms. As these two groups become less differentiated, those specifically trained in L2 writing might well wonder whether the needs of the non-native speakers of English are acknowledged and addressed in the mainstream classrooms. The author examines several different theoretical constructs that have informed and continue to inform the literature on L1 composition pedagogy, demonstrating that some of these allow for the inclusion of linguistically diverse groups better than others. Fortunately, the recent turn to social and critical approaches to teaching composition reflect well the preoccupations of both L1 and L2 writing teachers. More and more attention is being paid to discussions of "linguistic diversity," a term which now includes non-native speakers. This suggests a future convergence in the activit...