In this article, I answer two research questions: How do different models of public management define relationships between the state and the third sector? And how do these relationships influence how third sector professionals involve citizens in co‐production? I consider evidence from non‐profits in France, England and Quebec to illustrate how three varying models of public management (neo‐Weberian state in France, New Public Management in England, and New Public Governance in Quebec) structure the relationships between government and the third sector (based, respectively, on hierarchy and control, contracting and performance management, and partnership) and how these in turn impact non‐profits' co‐production activities with citizens. The article challenges the thesis that co‐production is most compatible with the model of NPG, demonstrating the variety of co‐production activities that occur in all three contexts and providing new insights into the contextual contingency of the barriers and enablers to co‐production between third sector professionals and citizens.
Résumé
Deux questions sont abordées dans cet article : comment les modèles de management public définissent‐ils les relations entre l'État et le tiers secteur? Et comment ces relations influencent‐elles la manière dont les professionnels du tiers secteur impliquent les citoyens dans la coproduction des services? J'examine trois modèles de gestion publique (État néo‐wébérien en France, nouveau management publique en Angleterre et nouvelle gouvernance publique au Québec) d'organismes à but non lucratif (OBNLs) afin de comprendre comment les relations entre les gouvernements et le tiers secteur (fondé sur la hiérarchie et le contrôle, les contrats et la gestion des performances, et le partenariat) sont structurées et comment ces relations influencent les activités de coproduction entre les OBNLs et les citoyens. L'article questionne la thèse que la coproduction s'aligne davantage avec le modèle de NGP. Je démontre la variété des activités de coproduction dans les trois contextes et offre de nouvelles pistes de réflexion sur la contingence contextuelle des barrières et des moteurs de la coproduction entre professionnels du tiers secteur et citoyens.