“…Beaucoup plus nuancés sont les propos de Caleca [3]. S'inspirant également du modèle du cri chez le nourrisson, elle précise cependant « c'est probablement quand la parole perd cette qualité transitionnelle d'articulation entre corporelle et symbole, notamment dans la situation où la qualité d'énonciation du langage se trouve atteinte, que surviennent le cri ou la répétition criée qui pourraient avoir pour effet de colmater ce vide non représentable ».…”