“…Dans un même ordre d'idées, la volonté de lever le voile sur les pratiques policières méconnues s'est notamment matérialisée dans les études sur la gestion des indicateurs de police (Laurendeau, 1984), sur la question de la provocation policière (Brodeur, 1984), sur l'importance du renseignement (Lemieux, 2005), sur les relations de conflits et de complicité de la dyade policemédias (Parent, 1987) et sur l'adaptation de l'action policière au changement prescrit par le législateur (Le Blanc, 1984). Loin de se limiter à la seule étude de la police québécoise, des contributions françaises ont aussi tenté d'élargir le débat à d'autres contextes nationaux.…”