“…Ils qualifient alors ce choix de « décrochage culturel ». Depuis que cette expression a été proposée, elle semble gagner en popularité parmi les chercheurs et les agents d'éducation ontariens, et même dans les médias (Allaire et al, 2005;Boissonneault, Michaud, Côté, Tremblay et Allaire, 2007; Fédération de la jeunesse franco-ontarienne [FESFO], 2006;MÉO, 2006;Michaud, Boissonneault, Côté, Tremblay et Allaire, 2008;Patrimoine canadien, 2006;Radio Canada, 2011;Tremblay , Côté, Boissonneault, Michaud et Allaire, 2007;Tremblay, 2007). (Bourdieu, 1982;Bourdieu et Passeron, 1970), l'utilisation de ce terme revient-elle à une forme de violence symbolique imposée sur un groupe dominé d'élèves?…”