“…Aux limites initiales qui portaient essentiellement sur la qualité de l'image, en grande partie corrigée par l'avènement de l'imagerie d'harmonique et l'utilisation du contraste intracavitaire (16), se sont substituées des limites liées soit au type de protocole (17), soit aux modalités (18) et aux indications de l'examen, soit encore à l'interprétation des résultats en fonction de la technique de réfé-rence utilisée (19). L'angiographie coronaire reste la méthode de référence, pour ce qui concerne la défi nition morphologique du degré de signifi cativité d'une sté-nose coronaire mais tant la scintigraphie que l'échographie de stress a l'ambition de documenter l'ischémie, son territoire et donc l'artère responsable de celle-ci.…”