“…S'il a été démontré qu'il est illusoire de penser que l'on ferait « l'identité des gens malgré eux[,] pourtant on ne peut pas se passer des autres pour se forger sa propre identité » (Dubar, 1992, p. 119), d'autant plus que pour ce qui est de l'identité professionnelle, « le répondant professionnel […] forme un donné spatio-temporel à l'intersection du passé et du présent » (Clot, 2002). Ce sont ces usagers-analystes qui, par une relation interlocutive métaphorique, voire « souterraine », mettent alors en évidence une identité professionnelle commune (Mègemont & Baubion-Broye, 2001) et en renouvellement.…”