“…Il existe également peu de données systématiques sur l'effet du mode d'administration des glucides exogènes [bolus vs doses (Massicotte et al, 1996a) ; ingestion avant vs pendant l'exercice Caron et al, 2004;Krzentowski et al, 1984a) ; effet de la concentration de la solution ingérée (Jandrain et al, 1989;Jentjens et al, 2004bJentjens et al, , 2006Moodley et al, 1992)] sur leur oxydation. Un certain nombre d'études se sont penchées, par contre, sur l'effet de l'entraînement Jeukendrup et al, 1997;Krzentowski et al, 1984b;Péronnet et al, 2009;van Loon et al, 1999), de l'état nutritionnel (Ravussin et al, 1979), de certains facteurs environnementaux [froid (Galloway et al, 2001), chaud (Jentjens et al, 2006(Jentjens et al, , 2002, hypoxie (Péronnet et al, 2006)] et de certains nutriments ou agents pharmacologiques dont on sait qu'ils interfèrent ou pourraient interférer avec la digestion et l'absorption des glucides et la sélection des substrats [acarbose qui inhibe les glucosidases (Gerard et al, 1986), sodium (Massicotte et al, 1996b) qui pourrait faciliter l'absorption du glucose par le « sodium-glucose transporter 1 » (SLGT1) , métoclopramide qui accélère la vidange gastrique (Massicotte et al, 1996b), acipimox qui bloque la lipolyse (Gautier et al, 1994) ; caféine (Desbrow et al, 2009;Hulston et Jeukendrup, 2008;Yeo et al, 2005)]. …”