We used a permanent sample plot network established to monitor the effects of forest management practiced in mature northern hardwood and mixedwood stands in Québec, Canada to address two important questions related to tree mortality: (1) How does partial cutting affect tree mortality? (2) Which variables best explain tree mortality by different modes of death (standing death, uprooting or stem breakage)? Decennial tree deaths were lower after partial cutting than in unharvested plots, but the annual proportion of tree death was similar (1.25%·year -1 ). At the tree level, a risk-product classification demonstrated the strongest evidence on influencing total mortality, followed by species, the presence of a logging injury, and tree size. Annual temperature was the only climatic variable explaining variations in total risk of tree mortality, and always among the first three variables explaining differences among the three modes of death. The risk of standing death also increased with increasing annual precipitation, while the risk of stem breakage and, to a lesser extent, of being uprooted, decreased with increasing precipitation. Additionally, we found strong evidence to support the effect of the potassium/magnesium ratio of the humus layer on the risk of being uprooted. This information is critical to better understand tree mortality processes.Key words: selection cutting, partial cutting, mortality, deadwood, stand dynamics.
RĂSUMĂNous avons utilisĂ© les donnĂ©es de placettes permanentes Ă©tablies pour suivre les effets de l'amĂ©nagement forestier dans des peuplements matures Ă dominance feuillue au QuĂ©bec (Canada) dans le but de rĂ©pondre Ă deux questions relatives Ă la mortalitĂ© des arbres : (1) Comment la coupe partielle affecte-t-elle le taux de mortalitĂ© des arbres? (2) Quelles variables expliquent le mieux la mortalitĂ© des arbres feuillus selon qu'ils sont morts sur pied, dĂ©racinĂ©s ou ont un tronc rompu? La mortalitĂ© dĂ©cennale Ă©tait moindre aprĂšs une coupe partielle que dans les placettes non traitĂ©es, mais la proportion annuelle d'arbres morts Ă©tait la mĂȘme dans les deux (1,25 %·annĂ©e -1 ). Parmi les variable Ă©tudiĂ©es, la classe de risque et de produit potentiel de l'arbre feuillu influençait le plus la probabilitĂ© globale de mortalitĂ©; elle Ă©tait suivie par l' espĂšce, la prĂ©sence d'une blessure de coupe, puis la dimension de l'arbre. La tempĂ©rature annuelle Ă©tait la seule variable climatique permettant d' expliquer la probabilitĂ© globale de mortalitĂ© des arbres, et l'une des trois variables les plus importantes pour les trois types de mort. Le risque de mourir sur pied augmentait aussi avec l'augmentation des prĂ©cipitations annuelles, tandis que celui de rupture du tronc et, dans une moindre mesure, celui d' ĂȘtre dĂ©racinĂ© diminuaient avec l'augmentation des prĂ©cipitations. Finalement, nous avons observĂ© que le risque de dĂ©racinement d'un arbre Ă©tait influencĂ© par le rapport potassium/magnĂ©sium dans la couche d'humus du sol. Ces informations sont importantes pour mieux comprendre les processus de mor...