Effet du mode bidirectionnel des récits sur l’expérience narrative de l’œnotouriste

Abstract

Les volumes d’informations narratives se sont accrus entre l’oenotouriste et les sites, d’abord du fait du recours aux technologies numériques (SIT, sites d’avis, blogs, ...), puis du fait du caractère bidirectionnel des récits portés. Concernant l’expérience narrative de l’oenotouriste, cet article pose la question de l’efficacité du type de voie (exogène versus ontologique-endogène), ainsi que de la quantité optimale de récits circulant entre le territoire et lui. Le travail empirique comparera un modèle (avec variables latentes réflexives) d’expériences narratives perçues sans récit avec trois protocoles de récits : faible endogène, fort endogène et ontologique avec storytelling (Ryan 2002). Trois préconisations sont avancées pour les territoires : d’abord Ils doivent proposer les deux voies et laisser l’œnotouriste s’auto segmenter, ensuite la voie exploratoire exogène doit fournir des récits succincts (stéréotypes), enfin une recherche permanente des objets « Mana » ou « lieux générateurs » doit-être entreprise.

Analysing the narrative and promises of 'avoided deforestation' implementation in Central Africa

“…The role of stories and narratives was demonstrated to such an extent and in so many disciplines in the human and social sciences that researchers referred to a "narrative turn" in the 1960s and again in the 1980s (Fleury-Vilatte and Walter 2002, Baroni 2016, Veland et al 2018. More specifically, storytelling as a form of narrative and topic of research has been the subject of many publications in communication sciences (Lits 2012, Baroni 2016, de Bideran and Bourdaa 2017, marketing and management (Sempé andSeloudre 2015, Batazzi andParizot 2016), political science (Salmon 2007, Belletante 2010, Berut 2010) and sociology (Salmon 2007).…”