“…Certains auteurs retrouvent la totatlité de l'AFMI dans le caillé (Allcroft et Carnaghan, 1963), d'autres, au contraire, la majeure partie de la toxine dans le lactosérum (Purchase et coll., 1972). Entre ces deux extrêmes, on trouve toutes sortes d'intermédiaires, avec la majeure partie de la toxine (80 %) dans le caillé (Mc Kinney et coll., 1973), ou la moitié de l'AFM1 restant dans le lactosérum (Blanc et coll., 1983;Kiermeier et Mashaley, 1977;Stubblefield et Shannon, 1974) ou, enfin 86 % dans le lactosérum et 14 % dans le caillé (Stoloff et coll., 1975).…”