“…Les intérêts de la cité et de l' oikos, à savoir la préservation des patrimoines, croisaient aussi ceux des populations fragiles circonscrites comme telles. Les enfants étaient aussi, selon S. Adam-Magnissali, , F. Ruzé (2006) conclut que, « dans les deux cas, à Catane comme à Gortyne, c'est la même préoccupation qui se manifeste : méfiance envers la rapacité des familles, garanties pour les héritiers trop jeunes ou trop faibles de se défendre eux-mêmes ». Il en ressort finalement que, dans les cités grecques antiques, tout comme dans la France actuelle, on peut analyser « la famille comme cause nationale, comme institution, puis comme partie de la politique sociale » (Lenoir 2007, p. 10).…”