“…La dysgénésie ovarienne expérimentale, chez la Ratte, entraîne la présence de taux élevés de gonadotropine circulante, mis en évidence par la technique histophysiologique des greffes (Vanhems et Bousquet, 1975b) ; nous avons complété cette étude par la réalisation de dosages radioimmunologiques de LH Bousquet, 1971Bousquet, , 1973 Preiss, 1975 ;Howland, 1976 ;Gosden et Bancroft, 1976) …”