Étude expérimentale des ailes de la raie 2 537 Å du mercure perturbée par le krypton et le xénon

Determination of Interatomic Potentials for the X0+, A0+, and B1 States of HgKr from Fluorescence and Excitation Spectra

“…For the sake of comparison, Fig. 8c shows the numerical values of Findeisen and Grycuk (8) and the −C 6 /R 6 approximation obtained by Ben Lakhdar et al (9). Contrary to expectations, the points from Ref.…”

“…The long-range characteristic C 6 , obtained in this procedure, should be compared with those found in the literature: C 6 (6 3 P 1 ) = 1.350 (42) and 0.913 (43), and C 6 (B1) = 1.312 (7,8) and 1.527 (9), all in [cm −1Å 6 ] × 10 6 . Table 1 shows the results for the B1 state together with those determined in earlier investigations.…”

“…Initially, Lennard-Jones (LJ) (6)(7)(8)(9)(10)(11)(12) and vdW -C 6 /R 6 functions were used to represent the PE curve of the ground state and the long-range behaviour of the excited state potentials, respectively (6). Subsequently, a Maitland-Smith (MS) function joined to a 9.5 reciprocal power function of Powers and Cross (11) and to a vdW component of Ben Lakhdar et al (9) at small and large internuclear separations, respectively, was chosen to represent the X state potential (7,8). However, the repulsive part of this potential was found to have a singularity; as the internuclear separation decreased to zero, the potential decreased to −∞ instead of increasing to +∞.…”

Sur les potentiels d'interaction Hg (6 1S0) ou Hg (6 3P1) - gaz rares

“…-Les perturbations par les gaz rares du profil de la raie À = 2 537 A du mercure ont fait l'objet de plusieurs travaux tant théoriques qu'expérimentaux dans le but d'obtenir des informations sur les potentiels d'interaction. Nous avons, dans un précédent article [1], exposé nos résultats dans le cas où le gaz perturbateur était le krypton ou le xénon, mais il existait dans ce cas relativement peu d'autres résultats concernant les potentiels d'interactions susceptibles d'être confrontés aux nôtres.…”

“…-Nous avons mesuré le facteur d'absorption k(v) du mélange vapeur de mercure-argon sur un domaine spectral allant de 120 à 7 500 GHz de part et d'autre du centre Vo de la raie, pour des densités atomiques d'argon N inférieures à 1020 atomes cm-3. La technique utilisée est identique à celle qui nous a permis d'étudier les interactions mercure-krypton ou mercure-xénon et qui a été décrite dans un article précédent [1]. Les résultats sont qualitativement comparables : a) Dans l'aile rouge, existence de deux régions spectrales notées (A) et (B) dans lesquelles la probabilité d'émission par intervalle spectral sur la fréquence v = vo + v' peut être représentée par une loi (Figs.…”