Examining the underlying dimensions of morphological awareness and vocabulary knowledge

Abstract

We report results from two studies on the underlying dimensions of morphological awareness and vocabulary knowledge in elementary-aged children. In Study 1, 99 fourth-grade students were given multiple measures of morphological awareness and vocabulary. A single factor accounted for individual differences in all morphology and vocabulary assessments. Study 2 extended these results by giving 90 eighth-grade students expanded measures of vocabulary and morphology that assessed (a) definitional knowledge, (b) usage, (c) relational knowledge, and (d) knowledge of morphological variants, with each potential aspect of knowledge assessed using an identical set of 23 words to control for differential knowledge of specific vocabulary items. Results indicated that a single-factor model that encompassed morphological and vocabulary knowledge provided the best fit to the data. Finally, explanatory item response modeling was used to investigate sources of variance in the vocabulary and morphological awareness tasks we administered. Implications for assessment and instruction are discussed.

Does Morphology Play an Important Role in L2 Chinese Vocabulary Acquisition?

“…There are also several limitations that warrant further investigation. Because the vocabulary tasks in the current study did not effectively distinguish among the components of Chinese vocabulary knowledge—a multidimensional construct (Schmitt, )—future studies could continue to investigate the core subcomponents (see Spencer et al, ; Tighe & Schatschneider, ). Compound structure awareness needs to be further explored, particularly learners' compound structure awareness and morphosyntactic understandings as well as both the receptive and productive aspects of Chinese lexical compounding.…”

Regard sur les dimensions sous-jacentes dans les épreuves de conscience morphologique

“…Notre objectif de recherche était de faire ressortir les dimensions sous-jacentes des tâches utilisées traditionnellement pour évaluer la conscience morphologique. Bien que plusieurs études concluent à l'unidimensionnalité de la conscience morphologique, même en mesurant neuf épreuves (Muse, 2005) ou en proposant des modèles alternatifs (Spencer et al 2015), notre recherche apporte sa pierre à l'édifice d'une conception multidimensionnelle de la conscience morphologique. Tibi et Kirby (2017) proposent que le construit peut être envisagé en fonction de deux sous-composantes, les modalités orale et écrite, et les résultats de Tighe et Schatschneider (2015) indiquent, eux, que la multidimensionnalité de la conscience morphologique peut être représentée par la nature de l'unité mise en jeu, soit les vrais et les pseudo mots.…”

“…La conscience morphologique est encore peu étudiée dans une perspective de variables latentes ou de validité de construit (construct validity) (Deacon, Parrila et Kirby, 2008). Bien que certaines études se soient penchées sur les dimensions sous-jacentes à la conscience morphologique en anglais (Muse, 2005;Spencer et al, 2015; et en arabe (Tibi et Kirby 2017), notre étude est à notre connaissance la première à le faire avec un échantillon de francophones. Ainsi, il est légitime de se demander ce que mesurent les différentes tâches de conscience morphologique en français.…”

“…Dans cette épreuve, on demande à l'élève de prendre une décision sur la relation sémantique entre les deux mots qui lui sont présentés (Spencer et al, 2015;Carlisle & Nomanbhoy, 1993;Colé, Royer, Leuwers & Casalis, 2004;Roy et Labelle, 2007;Duncan, Casalis & Colé, 2009;Allard, 2008 (ex. saler, salade ; colle, collier).…”

“…Cela peut être causé par une mauvaise compréhension des tâches par les enfants, et/ou des instructions imprécises malgré l'utilisation d'un même protocole de passation. L'épreuve d'extraction de la base a tout de même été maintenue dans les analyses subséquentes, puisque les analyses factorielles confirmatoires, qui permettent d'extraire la variance commune dans ces variables mesurées à validité plus faible, sont robustes face à ce type de problème (Spencer et al, 2015).…”