Facteurs prédictifs associés au statut de perdu de vue au cours du traitement antituberculeux à Brazzaville

Aspects radiologiques de la tuberculose pulmonaire chez les patients vivant avec le virus d’immunodéficience humaine dans les services de Maladies infectieuses et de Pneumophtisiologie du centre hospitalier universitaire Point G de Bamako

“…La tuberculose pulmonaire évolutive est une infection bactérienne pulmonaire grave pouvant survenir à tout moment, mais sa survenue et son évolution sont favorisées par l'immunodépression, notamment l'infection par le VIH, à l'origine d'une modification des aspects radiologiques habituels de la tuberculose pulmonaire avec des atteintes parenchymateuses plus étendues, le plus souvent bilatérales et intéressant tous les lobes pulmonaires [10,[15][16][17][18][19]. Les aspects radiologiques observés au cours de la co-infection TB/VIH sont multiples et varient d'un patient à un autre, selon leurs réponses immunitaires, la pneumopathie associée et le délai du diagnostic [3, 16,18,20,21].…”

“…Cette différence pourrait aussi s'expliquer d'une autre part par la différence de la taille des populations d'études.La tranche d'âge et l'âge moyen prédominants dans notre étude corroborent ceux d'une autre étude au Mali [23] Aspect para clinique : la prédominance de l'infection par le VIH type 1 dans notre étude, aussi décrite dans certaines études [23,24,28,30], s'explique par le fait que ce virus est historiquement le plus répandu en Afrique subsaharienne selon la littérature [31,32]. Comme dans une étude similaire [18], le taux de CD4 était majoritairement inférieur à 200cellules/mm 3 à cause du diagnostic tardif pour certains et de l'inobservance thérapeutique pour d'autres, mais aussi la tuberculose elle-même provoque une immunodépression [33]. Sur les 74 patients la bacilloscopie était majoritairement positive, cependant sur les 34 patients ayant réalisé leurs taux de CD4 la bacilloscopie et le Gène Xpert étaient majoritairement négatifs comme dans une étude similaire [1], à cause du fait que la majorité de nos patient avait une immunodépression sévère (taux de CD4 < 200cellules/mm 3 ), ce constat a aussi été fait dans une étude africaine [34].…”

“…Sur les 74 patients la bacilloscopie était majoritairement positive, cependant sur les 34 patients ayant réalisé leurs taux de CD4 la bacilloscopie et le Gène Xpert étaient majoritairement négatifs comme dans une étude similaire [1], à cause du fait que la majorité de nos patient avait une immunodépression sévère (taux de CD4 < 200cellules/mm 3 ), ce constat a aussi été fait dans une étude africaine [34]. Les images radiologiques étaient majoritairement pathologiques et prédominées par des lésions diffuses bilatérales à type de miliaire suivi d'excavations, comme décrites dans certaines études [1, 15,18], à cause du fait que les cas de miliaire étaient significativement liés au taux de CD4 <200cellules/mm 3 qui prédominait et les cas d'excavations quant à eux étaient liés au taux de CD4 ≥200cellules/mm 3 . Plus l'immunodépression portant à la fois sur la qualité et la quantité des cellules immunitaires est sévère, plus il survient la dissémination du Mycobactérium tout comme les autres germes [1, 17,33], contrairement aux cavernes qui sont observées lorsque les cellules immunitaires sont capables de circonscrire le foyer d'inoculation initial [1,35] qui, leurs survenue chez les PvVIH s'expliquerait par le fait qu'elles soient « progresseures lentes » [36,37] Aspects thérapeutique : la majorité de nos patients a bénéficié du schéma thérapeutique antirétroviral TDF+3TC+EFV et du régime antituberculeux orale 2RHZE/4RH conformément aux recommandations de la littérature [14,19,38], comme dans une autre étude [23], du fait que c'était le schéma de première ligne recommandé à l'époque chez les infectés par le VIH-1 qui représentaient la majorité de nos patients.…”

Régimen corto de tratamiento de tuberculosis farmacorresistente: hacia una menor pérdida del seguimiento de pacientes

“…Otro factor fuertemente asociado con las PDS en la tabla 1 es el alcoholismo y la adicción a drogas. Este hallazgo concuerda con los resultados obtenidos por Bemba et al, (2017) quienes mostraron una correlación OR de 3,80 (3,[8][9][10][11]3) en este factor. Algunas condiciones adicionales relacionadas por estos autores con la no adherencia al tratamiento fueron, el alto número de medicamentos (OR = 7,64, 1,96-29,8) y el estigma (OR = 7,85; 1,87-33).…”