Evapotranspiration constitutes one of the major components of the hydrological cycle and hence its accurate estimation is of vital importance to assess water availability and requirements. This study explores the utility of genetic programming (GP) to model the evapotranspiration process. An important characteristic of GP is that both the model structure and coefficients are simultaneously optimized. The method is applied in modelling eddy-covariance (EC)-measured latent heat (LE) as a function of net radiation (NR), ground temperature (GT), air temperature (AT), wind speed (WS) and relative humidity (RH). Two case studies having different climatic and topographic conditions are considered. The performance of the GP model is compared with artificial neural network (ANN) models and the traditional Penman-Monteith (PM) method. Results from the study indicate that both the datadriven models, GP and ANNs, performed better than the PM method. However, performance of the GP model is comparable with that of the ANN model. The GP-evolved models are dominated by NR and GT, indicating that these two inputs can represent most of the variance in LE. The results show that the GP-evolved equations are parsimonious and understandable, and are well suited to modelling the dynamics of the evapotranspiration process.Key words eddy-covariance; evapotranspiration; modelling; genetic programming; artificial neural networks; Penman-Monteith method Modélisation de la dynamique du processus évapotranspiratoire par programmation génétique Résumé L'évapotranspiration est l'une des principales composantes du cycle hydrologique et son estimation précise est par conséquent d'une importance vitale pour estimer la disponibilité et les besoins en eau. Cette étude explore l'utilité de la programmation génétique (PG) pour modéliser le processus évapotranspiratoire. Une caractéristique importante de la PG est que la structure du modèle et les coefficients sont optimisés simultanément. La méthode est appliquée à la modélisation de la chaleur latente (CL) mesurée par la méthode des covariances turbulentes (CT) comme une fonction du rayonnement net (RN), de la température du sol (TS), de la température de l'air (TA), de la vitesse du vent (VV) et de l'humidité relative (HR). Deux études de cas sont considérées, qui présentent des conditions climatiques et topographiques différentes. La performance de la modélisation PG est comparée à celles de modèles de type réseaux de neurones artificiels (RNA) et de la méthode traditionnelle de Pennman-Monteith (PM). L'étude montre que les modélisations forcées par les données, PG et RNA, donnent de meilleurs résultats que la méthode PM. Cependant, la performance de la modélisation PG est comparable à celle de la modélisation RNA. Les modélisations PG évoluées sont dominées par RN et TS, ce qui indique que ces deux variables d'entrée peuvent représenter la plupart de la variance de CL. Les résultats montrent que les équations PG évoluées sont parcimonieuses et intelligibles, et sont bien adaptées à la mo...