“…Les personnes vivant en milieu rural sont moins susceptibles que les citadins de subir un dépistage concernant la consommation d’alcool (RC 0,15, IC de 95 % 0,14–0,16), d’être renseignés à ce sujet (RC 0,15, IC de 95 % 0,14–0,17) ou de recevoir des conseils appropriés (RC 0,08, IC de 95 % 0,06–0,09) après un dépistage positif 166 . En milieu rural, on observe aussi moins de traitements instaurés (RC 0,88, IC de 95 % 0,83–0,93; n = 52 165), d’observance thérapeutique (RC 0,86, IC de 95 % 0,77–0,97; n = 14 114) et de médicaments prescrits (RC 0,83, IC de 95 % 0,73–0,94; n = 15 062) qu’en milieu urbain 167 . Parmi les adultes de 65 ans ou plus ( n = 9663), les femmes sont plus susceptibles que les hommes d’affirmer avoir fait l’objet d’un dépistage de leur consommation d’alcool (risque relatif 1,22, IC de 95 % 1,05–1,42), mais moins susceptibles d’aborder le sujet avec leurs médecins (risque relatif 0,82, IC de 95 % 0,73–0,91) 168 .…”