“…Leur intensité pourrait croître selon l'avancée de la neuropathologie [8] accentuant un sentiment d'impuissance parmi les équipes et les familles. En effet, même si des ressources psychiques perdurent à un stade avancé de la pathologie [9][10][11], bien souvent, cette apparente absence du langage et la présence des troubles cognitifs complexifient fortement l'entrée en relation. Différents entretiens (sur 61 au total) d'une durée d'une quinzaine de minutes, à fréquence de deux fois par semaine, menés auprès d'une dame que nous appellerons Madame T., nous permettront de faire des hypothèses sur ce qui peut être manifesté par ces cris en s'appuyant sur divers apports théoriques et psychothérapiques.…”