“…Pour que le BMS continue d’assumer sa vocation de go-between entre traditions scientifiques différentes, il est indispensable que la revue continue de recevoir et de publier des articles en anglais venant de différents coins du monde. Or il arrive que le nombre de soumissions correspondant aux critères scientifiques de la revue (que nous avons détaillés il y a un an dans un autre éditorial : « Une revue de niche et fière de l’être », Duchesne et al, 2023) ralentisse et que nous ayons du mal à assurer la parité des textes français et anglais du numéro suivant. C’est de fait ce qui nous a conduit.es à ce numéro double : nous n’avions pas, il y a trois mois, suffisamment d’articles en anglais en état d’être publiés pour sortir le numéro 161.…”