“…Notons seulement que Serre et Simon [13] soupçonnent l'existence, à côté de l'effet vasculaire direct, d'une action neuro-vasculaire trophique. Mais la griséofulvine possède aussi une action antim itotique synergique et analogue à la colchicine [7,11], qui s'interfère vraisem blablement avec la synthèse des nucléo-protéines [15]. Cette action confère à la griséofulvine un effet antifibroblastique, mis en évidence dans les cultures de tissus [1], Notons, pour term iner, que, grâce à l'effet colchicinique, la griséofulvine a été utilisée avec un certain succès dans le traitem ent de la goutte [14,16,17].…”