NDF), (2) luzerne, floraison 50% (167oP8,47% NDF), (3) dactyle, anthdse (l7VoPB,56% NDF) ou (4) dactyle, post-anthdse (14% PB, 59 % NDF). Le temps pass6 i brouter 6tait le meme pour tous les r6gimes, soit 360 min j-', P > 0,05), ce qui fait que le NDF de la luzerne 6tait expos6 )r une mastication plus longue que celui du dactyle (P : 0,001) soit 167,8 contre 112,2 min kg-' NDF. Une plus grande proportion de la matidre sbche 6tait solubilis6e durant la phase d'alimentation i partir de la luzeme que du dactyle: 38,1 contre 27,O%, P : 0,001, mais moins de salive 6tait s6cr6t6e par grarnme de matidre sdche: 1,94 contre 3,09 g, P : 0,001). Aux stades de maturit6 plus avanc6s, la solubilisation de la matidre sbche 6tait r6duite pour les deux fourrages (28,1 contre 37%, P = 0,002) et il fallait davantage de salive par gramme de matidre sdche, soit 2,74 contre 2,28 g (P : 0,01). La dur6e de rumination 6tait sensiblement 6gale (312 min j-', P > 0,05) avec la luzerne ou avec le dactyle, de sorte que la dur6e de mastication de rumination par kilo de NDF de luzerne 6tait plus longue, soit 1210,8 contre 98,3 min, P < 0,01. k fourrage de coupe tardive exigeait plus de temps pour la rumination (348 contre 276 min j-' , P : 0,04). Les r6sultats montrent que les caract6ristiques des herbages de gramindes et de l6gumineuses r6colt6s i des stades physiologiques comparables n'avaient que peu d'effet Can.